Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.

Je m’appelle Amandine / .QUEEN A, mais vous pouvez me nommer Didine. J’ai 19 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Candice Swanepoel, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un Personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à PRD il me semble et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que autre (si vous étiez sur l'ancien prov', révélez votre identité ici ).

Je suis née le 19 novembre 1992 à Providence. Issue d'un père sénateur et d'une mère directrice générale de je ne sais quelle grosse entreprise, je n'ai jamais manqué de rien. Mes parents étaient rarement là à la maison. Alors dès mon plus jeune âge, j'ai appris à faire ce que je voulais. Mes parents engageaient des nounous à qui je faisais vivre un enfer. Je passais le plus clair de mon temps à les mener par le bout du nez. Beaucoup sont partis en dépression parce que j'étais une "gosse insupportable" d'après elle. Devant mes parents, j'étais un ange. Ce que j'étais petite, ne fit qu'empirer par la suite. Scolarisée dans l'une des plus chères écoles privées de Providence, je snobais les élèves des autres écoles. J'avais à peine 8 ans, que je commençais déjà à imposer mes règles et à me prendre pour la reine. J'avais une vie de rêve, mes parents cédaient à tout mes caprices. J'étais la petite princesse et une fois sortit des quatre murs qui constituaient la villa, j'étais pareil. Je voulais qu'on me remarque. J'ai toujours pensé que mon conte de fée continuerait encore et encore. Mais je m'étais trompée. La pire chose qui puisse arrivée, arriva.Le divorce de mes parents.
Je venais d'avoir 12 ans lorsque mes parents m'annoncèrent qu'ils allaient divorcés. Ce fut le choc, s'était typiquement le truc que je n'ai pas vu arrivé. Je me pris une grande claque en pleine figure. Mais je montra rien. Pleurer devant eux aurait été un signe de faiblesse et je ne voulais pas être faible. Après m'avoir énumérer toutes les raisons pour lesquelles ils avaient pris cette décision, j'étais partis dans ma chambre en claquant la porte. Ce n'était pas possible, ça ne pouvait pas être vrai. Et pourtant, lorsqu'un an plus tard, je vis mon père faire ces valises et prendre la voiture, je compris que rien ne s'était arrangé. Blessée et trahie, je commençais à faire toutes les bêtises possibles et imaginables qui me passaient par la tête. J'ai commencé par fumer, puis à aller en soirée. J'avais 14 ans, lorsque je me suis pris ma première cuite et 15 ans lorsque je perdis ma virginité avec un garçon que je ne connaissais même pas. Je voulais m'éloigner le plus possible de ma mère, de ma famille, de cette villa où j'avais grandis. Je ne parlais presque plus à personne. Je préférais passer du temps en soirée, à boire des cocktails et coucher avec des garçons qui en avait rien à faire que je sois fille de sénateur ou non. Je ne trainais pas forcement avec des gens fréquentables mais qu'importe. Je n'ai jamais cherché à avoir de la valeur pour quelqu'un. A vrai dire, je m'amusais et s'était le principal. Les professeurs voyaient que ça n'allait et que quelqu'un devait resserrer la vis mais dès que l'on commençait à me parler de mes parents, je me refermais comme une huître. Le divorce de mes parents appartenaient au passé et je ne voulais pas en parler. Néanmoins, je réussis à obtenir mon diplôme. Comment? Je n'en sais strictement rien. Passionnée d'histoire, d'architecture et d'art depuis toute petite, je me suis orientée dans ce cursus. Ma mère a déménagé et m'a donc laissé la villa. J'ai carrément coupé les ponts avec elle. Je suis responsable de mes actes et ce n'est pas maintenant qu'elle va m'interdire quoi que se soit. Je me débrouille plutôt et je suis même dans les cinq premiers en cours. Les soirées, je continue à en faire mais j'essaie de plus en plus de privilégié les études. Vous croyez que j'ai pris de bonnes résolutions.