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Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ”
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« Edward S. Smith »
~ Dépot de candidature : 28/07/2012 ~ Bavardages : 54
~ Job : DÉTECTIVE PRIVÉ - ANCIEN PIANISTE. ~ Gps : SON APPARTEMENT ;
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Sujet: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 17:59
Edward Soren Smith
« - Je ne suis pas effayé par la mort. J'ai plus peur d'être moi, qu'autre chose. »
« - J'ai fait 24 ans il y a peu. C'est dur de se dire qu'on a bientôt atteint l'âge des grands, de ce qui prétende être au-dessus de tout. De se dire qu'à notre âge certains ont terminé leurs études depuis un moment. Qu'est-ce que j'y peux si j'ai commencé la fac à 20 ans ? Je suis née le matin d'une journée pluvieuse d'été. L'humidité, j'ai connu ça un temps puisque j'ai vu le jour dans la ville de Jaipur, au Rajasthan. Oui, en Inde. C'était un trois juillet et je suis l'ainé d'une longue famille alors le sourire aux lèvres de mes parents sont restées là un bon moment, pour pas dire une éternité durant cette belle année 1988. Je suis indien par ma mère. Je suis d'ailleurs née là-bas. L'Inde, j'y ai passé mon enfance. Rien de bien étonnant. Mon père était Anglais. Il venait d'une famille de colonisateur qui s'était installé en Inde et qui avait survécu après la révolution. Les Smith étaient encore là après l'indépendance, c'est vous dire. Vous savez, je me suis marié il y a deux ans, à Vegas juste comme ça pendant une nuit. Elle était belle, drôle et je pourrais vous parler d'elle pendant un moment parce que je la connait depuis que je ne porte plus de couches-culottes. Sauf que je n'ai pas eu la force d'être honnête avec elle et quand elle m'a balancé le divorce et la rupture à la gueule, j'ai fuis. J'ai accepté ça et pourtant, j'en souffre. L'amour nous rend lâche, on y peut rien. Je suis divorcé, à 24 ans. C'est pas beau ? J'ai commencé les études de médecine, avec l'option psychanalyse il y a quatre ans. Rien de mieux pour un ancien enfermé que d'apprendre cette matière, non ? En plus de ça, je suis pianiste. J'ai dû arrêter en venant ici, faute de temps et de trouver un orchestre qui ait besoin d'un pianiste soliste. Je suis détective privé depuis mes 15 ans. Rien d'étonnant quand on sait la vie que j'ai vécu. Comme on dit, l'argent ne tombe pas du ciel. »
MOI EN QUELQUES MOTS…
Edward a un caractère très simple, du moins c'est ce que l'on croit. Il est d'un naturel calme et parle d'une manière distinct (sauf devant les jolies filles, où il bégaie par timidité.) Il déteste devoir aller vers les gens et il se fou royalement des opinions des autres. à vrai dire il ne fait confiance qu'à lui-même. Il rit rarement, mais quand ça lui prend c'est un vrai plaisir de l'entendre. Edward ne fait vraiment rien comme les autres, il est très différent. Une chose à laquelle il tient c'est la sincérité. Il refuse de mentir et déteste ça. Certains dirons que c'est le mec idéal, gentille et très compréhensif, mais d'autre connaissent sa vrai nature. Il est parfois effrayant. C'est le mec mystérieux qu'on a envie de comprendre maladivement.
OH MY GREEK !
alpha xi omega ♦ Voilà quatre ans que je suis ici. Je ne suis pas vraiment arrogant, mais il m'arrive très franc et direct quand je pense qu'il est temps que quelqu'un comprenne certaine choses. Je ne suis pas violent, j'suis même tout le contraire et faut croire que niveau charisme, j'en manque pas. Et en plus de ça, parait que je suis le chef provisoire. Oui, c'est génial mais j'avoue que je m'en fou un peu. J'ai d'autre chose à faire.
CARNET DE SANTÉ
Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.
✻ Parle moi de lui, raconte moi sa vie…Signe astrologique : Cancer. Couleur préférée : Rouge. Goûts musicaux : Jazz/Classique. Style vestimentaire : Chic, classe. Croyance religieuses : Athé. Sexualité : Il l'a déjà fait, c'est sur. Tabac / Alcool / Drogue : Fume, bois, pas de drogue. Perspective d’avenir / rêve : Devenir écrivain.
TAILLE :
POIDS :
GROUPE SANGUIN :
ALLERGIE(S) :
MALADIE(S) / ANOMALIE(S) :
SIGNE(S) PARTICULIER(S) :
PHOBIE(S) :
COMPLEXE(S) :
C’EST MOI CONTRE LE MONDE ENTIER
Je m’appelle Elodie, mais vous pouvez me nommer Elow'. J’ai 20 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Hayden Christensen, parce qu’il faut avouer qu’il est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à le gars qui fait Seth, mon poto ! et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est validé par Jazz..
Dernière édition par Edward S. Smith le Dim 29 Juil - 16:54, édité 5 fois
« Edward S. Smith »
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Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 17:59
BREF, VIE DE MERDE !
I. MON HISTOIRE NE COMMENCE PAS PAR "IL ÉTAIT UNE FOIS."
« - il aura l'étoffe d'un héros ce p'tit ! vous verrez ! » Se plaisait à dire son père quand Edward Soren Smith vit le jour. Un prénom pour chaque Héros de la famille. Soren comme son grand-père, qui était mort lors de la seconde guerre mondiale et Edward comme le père fondateur des Smith. Premier d'une future grande lignée qui fait partie des riches colonisateurs d'Inde. Une famille réputé pour sa froideur, sa discipline, son sadismes. Les Smith sont donc anglais à la base, mais la mère est une Indienne, la honte pour la famille Smith qui décida d'épargner le père d'Edward. Après tout, c'était le dernier héritier et c'était soit le laisser avec cette étrangère, soit mettre fin à la famille Smith. Mais surtout elle a offert à Edward de bien grosse pression sur ses épaules.
Son enfance n'avait donc rien d'une chouette histoire. Il était l'ainé d'une famille nombreuse. Il comptait deux petites soeurs, des jumelles et un petit frère. Sa mère était morte malade en accouchant de son deuxième petit frère. Quand on vit dans une petite ville, les couples s'installent et fonde une longue ligné familiale pour perpétué les traditions. Oui, la famille Smith était resté en Inde jusqu'au six ans d'Edward, la mort de sa mère les avaient poussé à partir pour l'Amérique, à Silver lake. Durant toute son enfance il s'était contenté d'être le fils idéal. Il devait montrer l'exemple, alors jamais il ne répondait à son père où refusait une tâche. Il acquiesçait de la tête et faisait ce qui avait à faire. Déjà petit garçon il était trop calme. Ses soeurs ne l'approchaient pas, parce qu'il n'avait jamais de temps à leur consacrer. Il les surveillait quand on lui en faisait la demande, mais c'était tout. Ce qui était important pour lui était que son père le regarde fièrement. Mais les choses prirent une autre tournure quand le dernier petit frère vit le jour. D'un coup, Edward était laissé de côté. On ne le regardait plus comme un fils, mais juste comme un objet. Limite un robot. Les « fait ça, fait ci » retentissait logement dans la maison. D'un jour à un autre, Edward se senti oublié, mais ce n'était pas qu'une impression. Même jouer devant des milliers de personne du piano à l'âge de 10 ans n'impressionnait plus son père. On savait qu'il était intelligent, maintenant on s'en fichait. Par chance il y avait cette fille qui vivait à côté. Il y avait un certain réconfort lorsqu'il était près d'elle. C'était son amie. Zola, c'était son prénom.
Quand sa mère mourut en accouchant du dernier, il ressentit pour la première fois ce qu'on peut appeler « la haine ». Il reprochait à ce dernier d'avoir tué sa mère pour vivre. A partir de là, Edward commença à jouer un double-jeu. Toujours aussi parfait devant le monde, mais un véritable démon pour ce petit dernier. Il se faufilait souvent en douce pour que son deuxième petit frère s'en prenne plein la tronche. Tous les coups étaient bons. En grandissant, il arrivait à être de plus en plus méchant avec lui, mais seulement avec lui. En même temps, plus personne ne faisait attention à Edward. Il n'y avait que Zola qui était là quand il était seul. C'était le seul point positif de cette enfance en Amérique où il avait eu du mal avec le langage. Il était encore plus mit de côté qu'avant, comme oublier parfois. Son père ne le regardait même plus, mais il reprenait des forces quand la jeune fille était là.
A 11 ans, Edward était le meilleur en tout. Le meilleur c'était lui. Avec le dernier de la famille, ils se sont retrouvés seul un week-end. Les deux jumelles étaient ailleurs et quant à l'autre petit-frère, il était chez un ami. Son père avait pleine confiance en Edward, même si celui était encore jeune. Quand on est père célibataire, c'est une vrai galère d'élever son fils ainé de 11 ans, un autre de 10, des jumelles de 8 ans et un dernier de 6 ans. Il n'aurait pas dû. Plus jeunes que lui, le dernier était en bas de l'escalier de la maison. L'écart entre son âge et celui d'Edward était assez important, alors de ses gros yeux il regarda qui se tenait en haut. Ses affaires d'écoles tombaient un à un dans l'escalier. A genoux il tentait de ramasser ses crayons et autres affaires, mais quelqu'un continué à retourner son cartable tout en haut de l'escalier. Il leva la tête et de ses gros yeux regarda Edward Impassible, Edward balança le cartable en entier sur son petit frère.
« - Tu ne veux pas jouer ? » il sortit un cutteur et petit à petit fit sortir la lame. On aurait dit qu'il faisait de la musique avec le « clic » répétitif du cutter. « - Non ? Tu es sur. D'accord. » Edward tendit le bras et lâcha le cutter qui tomba droit sur son petit frère. Juste assez proche de son oeil gauche pour que ça lui blesse l'oeil, mais pas qu'il le perde. Et des tours comme celui-ci, Edward en avait fait plein. Les occasions sans son père se faisaient de plus en plus nombreuses jusqu'à ce que leurs pères finissent par rentrer un soir. Un soir où il n'aurait pas dû rentrer. Un soir de trop.
II. CE N'ÉTAIS PAS UNE ERREUR, C'ÉTAIT « LA JUSTICE. »
A ce moment-là, il avait 11 ans, mais il avait un esprit bien trop mature pour son âge. Il n'a jamais été du genre à se battre, en réalité il était bien trop calme et zen pour pouvoir se défendre soi-même face à un gros monsieur. Son pouvoir à lui résider toujours dans les mots et dans la vengeance. Il savait rendre la monnaie de sa pièce comme il le fallait et ce sans soucis. Il n'était pas assez costaud de toute manière pour se battre contre qui que ce soit et il était bien trop jeune alors les querelles étaient toujours stupides. Une chose est sûre, ce soir-là il n'avait pas prévu ce qui s'était produit. Il était encore tôt avant que son père ne rentre de son travail et encore tôt avant que les autres arrivent des cours. Edward était rentré chez lui parce que le cours était trop énervant. Il s'était faufilé en dehors de l'école et avait couru jusqu'à sa maison. Le petit dernier de la famille était rentré plus tôt également. Ils se seraient battus dans la cours de récrée et son père l'avait ramené à la maison avant de retourner au travail, sans voir Edward cachait dans sa chambre. Il avait reçu un appel qui l'empêchait de rester surveiller ce petit vilain de dernier et en mauvais père, il l'avait laissé seul. Alors quand le petit dernier vit Edward sortir de sa chambre alors que le père était parti, il parti en courant se cacher dans sa chambre, sous son lit. Il espérait qu'Edward et plus important à faire, mais non. Il était juste derrière, attrapant ses petites jambes et le tirant vers lui. Il avait beau se débattre il savait que ça ne servait à rien, Edward le tenait. Ils descendirent alors direction le garage où Edward ordonna à son petit frère de rester assis sur la table de ping-pong et de ne pas bouger. Edward cherchait les outils de son père. « - Tu préfères quoi ? La clé à molette ou les cisailles ? » Dit-il en faisant passer devant les yeux de son petit frère complètement effrayé les cisailles. C'était toujours un vrai plaisir de lire cette peur dans son regard. Il était si innocent, si naïf. Edward lui, n'attendait qu'une chose c'est peut-être qu'il en finisse. Il ne voulait plus voir cette tête de gamin, ce regard et surtout quand il sourit. Quand il joue, quand il rit...
En y pensant, il balança les cisailles contre le mur, énervé. Il voulait en finir, oui il vouait qu'il disparaisse de sa vie comme il avait fait disparaitre sa mère de sa vie. « - On va faire un peu de jardinage, ça va être cool. » Il attrapa l'enfant qu'il traîna jusqu'au milieu du jardin. Il pris une pelle et creusa là où la terre était déjà retournée. Il y a quelque semaine les jumelles avaient tenté de faire un potage. Un échec. Du coup, elles prévoyaient d'y construire un petit abri. Peu importe, le petit dernier de la famille Smith resta debout devant son grand-frère qui creusait. Un grand malle était posé à côté de lui, c'était celle de leurs mères. Jadis elle y déposait des souvenirs, mais il y a quelque temps elle était vide et avait trouvé son refuge dans le garage. De ses gros yeux il essayait sans doute de savoir ce qu'Edward faisait, pourquoi surtout il creusait. Il le comprit très vite quand Edward s'arrêta, qu'il leva les yeux vers lui et qu'il l'attrapa par son tee-shirt. Il balança le pauvre enfant dans la malle qu'il referma aussitôt, C'est fou ce qu'on peut faire en une après-midi. Parce que oui, son petit-frère était là, dans une malle, tentent de sortir, pleurant, essayant de sortir de là et Edward était là aussi calme et impassible qu'il l'a toujours été.
« - Prend une grosse respiration, on va voir combien de temps on arrive à te trouver. » Et il commença à reboucher le trou. Jusqu'à ce qu'on retrouve l'espèce de terre retournée que les filles avaient laissée. Mais non. C'était trop tard pour faire quoi que ce soit d'autre puisque le père de Louis venait d'arriver. Il ne l'avait pas vu depuis le début, mais il l'avait vu en train de remblayer la terre. Pourquoi ? Que faisait Edward ? Du jardinage ? Maintenant ?
Pour la première fois de toute sa vie, Edward paniqua. Il paniqua comme jamais il ne paniqua. Il resta, pétrifié, pèle en main devant son père qui désormais parcourait la maison en hurlant le nom de son frère. Et puis Edward compris son erreur, compris l'horrible chose qu'il avait faite et commença a creuser de ses mains nu, il pleurait, il creusait et son père comprit. Il comprit que son fils aîné venait d'enterrer vivant le petit dernier.
III. COMME UN CORBEAU, JE TE GUETTERAIS JUSQU'À LA FIN.
Ce qui se passa après, il ne s'en souvient plus très bien. C'est assez flou dans sa tête, peut-être parce que c'est un souvenir bien douloureux ? Où juste qu'une partie de son cerveau a décidé de mettre ses souvenirs dans une boite « à ne jamais ouvrir. » En réalité, entre le moment où il a parlé et son réveil à l'hôpital Edward ne se souvient de rien et c'était mieux ainsi. Il n'avait plus en tête que son père et prit la pelle, creusé comme jamais pour ouvrir la mâle, parfois même à main nue. Il pleurait, hurlant à l'incompréhension pour finir par découvrir son dernier enfant à moitié dans les vapes. Quand il posa celui-ci doucement à terre, sur qu'il ne lui arriverait désormais plus rien, il se retourna sur Edward et le frappa. Celui-ci ne prenait pas la peine de se défendre, il se laissait faire. Mais son père, lui, était en colère. Le genre qui vous faire des choses incontrôlables et qui vous pousse parfois à aller trop loin. Assez pour qu'Edward soit à quelques pas de la mort.
Lorsqu'Edward se réveilla à l'hôpital il ne nia pas le fait d'avoir planté ce couteau. Il ne nia pas d'y avoir pris plaisir. Trop jeune pour être enfermé comme meurtrier et vu les circonstances la seule solution était de l'envoyer quelque part, d'enfermer ce qui semblait être un futur serial killer. Découvrant qu'il avait une famille en France ils demandèrent à l'oncle de payer l'enfermement d'Edward Soren Smith dans un asile. Il y resterait jusqu'à amélioration de son comportement. Ce fut les plus longues années de sa vie. Après un long voyage, on l'enferma dans une chambre lugubre. Sans fenêtre, couverte de mur blanc. La seule personne qui venait le voir était une bonne soeur qui lui ramenait un nouveau livre à chaque visite. Quatre ans, enfermé, sans pouvoir parler à qui que ce soit faute de ne pas parler un mot français. Quatre ans, enfoui dans les livres à imaginer un monde plus beau, meilleur. Quatre ans à imaginer comment changer le cours de son destin en laissant le passé de côté. Il se contentait des images qu'il y avait dans les livres et devait tenir un journal par écrit. Il ne savait jamais quoi y écrire et puis, au fur et à mesure il raconta ses souvenirs. A chaque nouvelle page, il écrivait comme s'il se confiait à une personne. "à Zola," était noté sur chaque début de confession. Edward c'était dit que s'il voulait commencer une nouvelle vie, il ne fallait pas qu'il oublie. Non, il ne fallait pas. Alors, il écrivit, encore et encore et l'écriture fut son seul passe-temps. Il n'y avait plus personne pour lui.
Imaginer qu'un jour, après quatre ans dans une certaine obscurité, la lumière du soleil vous réchauffe de nouveau les joues. Comment vous sentiriez-vous ? Libéré ? Heureux ? Edward lui, se contenta de fixait le soleil comme pour le défié. à 15 ans, il se sentait différent et capable d'affronter ce monde qu'était Silver Lake. Il était de retour dans la ville de son enfance, mais il était seul. Il croyait que le monde était peut-être plus beau, après tout ce qu'il avait lu. Il fut déçu. Encore. Il avait apprit à parler français, sans oublier l'anglais de son enfance ni même les bas d'hindi qu'il avait. De retour chez lui, c'était dur. Son père était parti, ses frères et soeurs étaient ailleurs. Son oncle l'accepta chez lui un an, jusqu'à ce qu'Edward arrive à ce payer tout seul. Au lycée, les premiers jours furent étrangement calme, Edward se faisait discret même si son intelligence surprenait. Il découvrit qu'il était timide devant de nouvelles personnes et qu'il n'arrivait pas à s'exprimer en public. C'était un étranger pour les autres, mais pas pour Zola. C'était un bonheur de la revoir bien qu'il ne lui dévoila jamais les journaux qu'il écrit, ni même pourquoi il était parti. C'est en passant un oral pour la première fois, devant toute sa classe, qu'Edward bégaya. Sa vie de lycéen n'était pas exceptionnelle. Il faisait partie du groupe des Losers parce qu'il avait trop le nez dans les bouquins. Pourtant, son meilleur ami était très populaire, mais Edward donnait l'impression d'aimer personne et malgré les notes extraordinaires il passait souvent ses après midi en heures de colle. Il fumé et il pris vite goût à l'alcool. Il passait souvent ses samedis soirs en soirée, seulement pour gratter des bières et boire un coup.. C'était un espèce de rebelle en mal être. Le lycée n'avait pas arrangé sa vision du monde, au contraire. Il trouvait ce monde stupide et la vie stupide, mais elle était là, Zola pour lui montrait qu'on pouvait parfois s'échapper de ce monde. Ils se mirent alors à sortir ensembles, c'était un jolie couple. Il se sentait bien avec elle, il l'aimait. Tout simplement.
IV. IL FALLAIT BIEN QU'UN JOUR LA VÉRITÉ TE FRAPPE COMME LA MORT.
Un soir, il pleuvait fortement dans la ville de son enfance. La ville de Jaipur en Inde était une grande ville, mais n'avait rien à avoir avec New York. Edward avait profité d'argent économisé pour aller deux semaines en Inde. Seul. Récupéré des affaires de familles et tout un tas d'autre chose. On conseillait à tout le monde rester chez soi et d'attendre que cela passe pour éviter les accidents. Du coup, personne n'était dehors sauf Edward qui débarquait. Il savait que la pluie n'arrêterait pas son père et qu'il serait allé au travail, comme toujours. Même si des tornades toucher la ville, son père était dans l'obligation de faire son métier et de gérer le secteur de la centrale électrique. Attendant dehors, Edward était debout devant la voiture de son père. Il n'avait pas pris de parapluie, il en voulait pas s'encombrer de quoi que ce soit. Il attendait juste que son père soit là pour une dernière confrontation. Un dernier regard avant ce qui allait suivre. Edward avait 20 ans. Le lycée c'était fini et il avait une idée d'où il voulait faire ses études. Avec Zola il avait décidé d'aller dans la même université, mais Edward n'avait pas assez d'argent. Il n'avait pas la fortune de son père. Après deux ans, alors que Zola avancé et qu'elle était en train d'entrer à la fac, Edward entra avec elle. Avec son métier de détective privé, il avait réussit à économiser assez d'argents. Ils avaient deux ans d'écart, mais le timing parfait. Quand son père fut là, il fut assez étonné en voyant son fils ainé attendant. Il ne savait pas s'il devait avoir peur ou pas, s'il devait partir ou pas. Il se contenta d'entrer dans sa voiture sans faire attention, mais Edwa0dr n'avait pas attendu pour rien. Alors, il fit le tour et entra également.
« - Qu'est-ce que tu crois faire ? » Lâcha-t-il enfin alors qu'il tourna et sortie du parking. Edward se contenta d'attendre. Il attendait un endroit précis avant de parler. Oui, un panneau. Lorsque le panneau indiquer « Tourné à droite pour sortir de la ville » alors à ce moment. Il parlerait. Il ne savait pas pourquoi, mais il devait attendre ce moment-là. « - Je ne te pardonnerais jamais. » Son père arrêta la voiture aussitôt. Il sortit alors, devant le regard incompris d'Edward et alla devant sa portière pour le faire sortir de force de la voiture. Il plaqua son fils très durement contre la porte qu'il venait de refermer et le regarda droit dans les yeux. « - C'est ton petit frère bon sang ! Il n'ait pas responsable pour la mort de ta mère ! Tu es responsable ! Toi et Toi seul ! C'était pour toi qu'elle voulait rentrer plus tôt de notre week-end ! Pour toi qu'on a pris la route tard et que ce foutu camion nous a foncé dessus ! Pour toi et seulement toi ! » Edward le regarda avec les yeux d'un enfant qui ne comprenait pas. Quel accident ? De quoi parlait-il ? Qu'est-ce que c'était que cette histoire ? Un mensonge pour protéger son petit frère, c'est ça ? « - Tu mens. » lâcha-t-il. Son père qui le tenait toujours par les épaules, le secoua une nouvelle fois avant d'hurler. « - Mais bordel, tu l'as appelé ce soir-là, tu étais jeune tu dois plus t'en souvenir, mais tu nous avais appelé alors qu'on était chez ton oncle. Tu pleurais comme une merde que ta mère te manquer et que tu n'arrivais pas à dormir parce que tu avais peur que le loup vienne te manger ! Ta mère était enceinte de 8 mois et à cause de toi... à cause de... » Les larmes coulaient toute seule. Son père lâchât prise petit à petit s'éloignant d'Edward qui avait les yeux grand ouvert comme si soudain il comprenait un tas de choses. Une illumination.
« - Tu mens ! Tu mens ! » Edward poussa sauvagement son père, cette fois c'était lui qui ne se contrôlait plus. Il refusait qu'on lui mette tout sur le dos alors qu'il n'avait rien fait. Il se souvenait pourtant de cet appel. C'était vrai que leurs oncles avaient invité ses parents pour un week-end, c'est vrai qu'Edward les avaient appelé tard le soir, quand la vielle voisine s'était endormis. Vrai que sa mère n'était plus jamais revenue après ça. Il refusait cependant d'y croire. Son père reprit ses esprits se tenant droit comme un pique devant son fils. « - Tu l'as tué. » Edward leva les yeux vers son père. Non, c'était faux. C'était faux. Il lui sauta dessus le cognant sans se retenir, comme le lui avait fait ce jour-là dans le jardin. « - Tu mens ! Tu mens ! » Tout en le frappant, il hurlait et pleurait. Il se sentait si minable, si horrible et il ne remarquait pas qu'il était en train de tuer son père. Oui, il ne le remarqua que lorsqu'il s'arrêta, les mains pleines de sang, assis sur son père. A aucun moment-là plus ne cessa de tomber. Jusqu'à ce qu'il arrête tout simplement de penser. Il regardait son père comme si ce n'était pas lui. Comme s'il ne l'avait jamais frappé, touché voir même vu. Il se leva alors, manquant de peu de retomber, mais la voiture été derrière lui. Il regarda ses mains et ce fut comme une révélation. Il essuya ses larmes, prit une grosse respiration malgré l'odeur du sang qui l'entourait. Il souleva le corps de son père et le replaça dans la voiture. Coupa quelque fil sous le capot et lança le moteur. Il laissa tourner et commença à s'en aller.
Edward Smith marchait doucement, mais la tête haute. Il marchait tout en suivant la route, on pouvait voir la voiture derrière. Les traces de frein derrière. Et puis d’un coup, une explosion. Mais Edward ne bougea pas. Il se contenta d’entrer dans la forêt et de rentrer chez lui, dans ce nouvel apart près de la fac. Il avait 20 ans, il était temps pour lui de suivre Zola qui comprenait qu'il avait passé deux ans à économiser pour pouvoir se payer l'entrée à la fac et entré avec elle.
V.UN JOUR, J’ÉCRIRAIS TON NOM AVEC MON SANG.
Brown s'offrit à Edward. Après deux ans de boulot, d'enquête et de séance chez le psy, il réussit à avoir une bourse et entrer dans l'une dans l'école privée qu'il avait choisi avec Zola. Il commença ses études de médecine et en surpris pas mal avec son QI. Sa relation avec Zola était géniale. C'était le couple. Le genre qu'on regarde avec respect parce qu'il dure depuis tellement longtemps qu'on est impressionné. Zola est le premier amour d'Edward, sans le doute le seul et l'unique pour lui. A la fac, il avait beaucoup de mal à étudier et à exercer son métier. Du coup, après un week-end à Las Vegas il comprit comment gagner un peu plus d'argent en y allant souvent. Le poker, c'était son jeu favori. En quatre ans, il s'en passe des choses. Comme une nuit dans une église à Vegas avec Zola. Une bague de Kinder surprise autour du doigt de la jeune femme. Aujourd'hui, les choses ont changé. L'année dernière c'était fini. Zola a décidé qu'entre eux, c'était terminé. Comme si tout ce qui c'était passé avant ne comptait pas. Et ça tombait pile le jour de la mort du père d'Edward. Et il accepta la rupture comme si c'était... normal. Il est en réalité anéanti par ça. Zola, c’était celle qui comptait le plus à ses yeux. Bien entendu, elle ne savait rien sur les secrets de sa vie, mais il l’aimait. C’était tout ce qui comptait. Et si elle avait besoin de temps pour réfléchir, d’accord. C’était mieux d’en finir là, car de toute façon Edward est persuadé qu’elle aurait encore plus souffert s’ils étaient restés ensemble. On a beau vouloir le meilleur pour ceux qu’on aime, c’est sans doute parfois trop difficile. Parce qu’Edward n’a pas perdu les sentiments qu’il a pour Zola. La voir quand il marche dans un couloir, avec un autre. Il a envie d'exploser. Et quand votre ex-petit-ami possède justement des crises de violences qu'il doit contrôler, c'est encore plus dur.
Edward se forgea un caractère calme en entrant à la fac. Il paraissait pour le mec qui ne pouvait faire du mal à une mouche, alors qu'en vérité il était celui qui lui arracherait les ailes par curiosité. Sa relation amoureuse et son mariage détruisit toute forme d'amour envers quiconque. Maintenant tout semblait croire que jamais aucune femme n'aimerai Edward comme il l'était. Il n'était pas méchant, il était conscience de son problème et de ses erreurs. Edward n'était pas le vilain. La mort ne l'effrayait pas et tué n'était pas son passe-temps favoris. C'est tout cela qui ont déterminé ce qu'il est aujourd'hui. Edward Soren Smith est et restera un loup solitaire, bercé par les cauchemars de son passé. Il attend, dans l'obscurité, l'ange qui lui prouvera que le monde possède bien des beautés, mais pour l'instant ce n'est pas gagné.
Dernière édition par Edward S. Smith le Dim 29 Juil - 17:00, édité 3 fois
Invité
« Invité »
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 19:06
Bienvenue sur le forum, super bon choix Bonne chance pour ta fiche
« Timmy K. Madsen »
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Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 19:57
Matte la fiche un peu Edward est du côté obscur de la force, c'est sur
Bienvenue sur PBH ! J'espère que t'y feras ton trou et que tu creuseras jusqu'à ce que c't'Edward devienne une légende (Reste Lambs, t'en a l'étoffe )
« Edward S. Smith »
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Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 20:28
Merci beauté :D !
haha ! Merci Timmy ! Oui, Ed' c'pas un gentil mais il veut devenir gentil, tout un problème tu me diras En tout cas je vais le creuser ce trou ! J'espère qu'on me laissera on cher Hayden M'en fou dans tout les cas je vais pleurer toute la nuit et ensuite, j'vais vous traumatisé (ouais ouais)
Pour les groupes, j'attends encore un peu MDR j'hésite encore On va dire que c'est dur de le caser quelque part
« Diamond »
~ Dépot de candidature : 19/07/2012 ~ Bavardages : 336
~ Job : // ~ Gps : Sur un banc avec des inconnus ramassés à 4h du matin, en train de manger du popcorn et de boire de la vodka.
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (0/0) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (0/0)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 21:03
Magnifique fiche! Mais surtout... magnifique célébrité *-* Omg, je baaaave. Bref, bienvenue et tout ça, au plaisir d'rp avec un beau gosse comme toi.
« June T. Williams »
~ Dépot de candidature : 13/03/2011 ~ Bavardages : 1283
~ Job : Aucun. ~ Gps : Pavillon Lambda Thêta Phi
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (99/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (18/20)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Sam 28 Juil - 21:16
Bienvenue parmi nous Je vais pas faire dans l'originalité mais : HAYDEN J'espère qu'on se retrouvera bientôt en RP
« Debra S. Hopkins »
~ Dépot de candidature : 27/05/2012 ~ Bavardages : 845
~ Job : Not Yet ~ Gps : Là où tu ne m`attends pas
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (95/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (100/100)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 1:33
Bienvenueee sur PBH ! Waow ta fiche est juste euh.. géniale ?!
Invité
« Invité »
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 9:00
Bienvenue
Invité
« Invité »
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 9:46
Bienvenue sur Providence ! Magnifique fiche
« Jazz A. Johanson »
~ Dépot de candidature : 28/04/2012 ~ Bavardages : 1427
~ Job : Dormir. ~ Gps : Blackstone Park.
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (88/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (78/100)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 9:51
Bienvenue.
« Edward S. Smith »
~ Dépot de candidature : 28/07/2012 ~ Bavardages : 54
~ Job : DÉTECTIVE PRIVÉ - ANCIEN PIANISTE. ~ Gps : SON APPARTEMENT ;
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (100/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (0/0)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 9:52
Hayden, il plait à tout le monde, c'est un truc de ouf Et j'ai envie de dire, niveau beauté sans nom, c'est qu'il y en a pas mal ici
Merci à vous tous
« Timmy K. Madsen »
~ Dépot de candidature : 30/08/2011 ~ Bavardages : 1162
~ Job : LIVREUR DE JOURNAUX. ~ Gps : SALLE DE GYM, SUR UN RING, A FAIRE CHIER LES DENTS DES ADVERSAIRES.
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (17/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (4/100)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 10:21
Edward P. Smith a écrit:
: Et j'ai envie de dire, niveau beauté sans nom, c'est qu'il y en a pas mal ici
Merci, merci
« Debra S. Hopkins »
~ Dépot de candidature : 27/05/2012 ~ Bavardages : 845
~ Job : Not Yet ~ Gps : Là où tu ne m`attends pas
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (95/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (100/100)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 11:36
Timmy K. Madsen a écrit:
Edward P. Smith a écrit:
: Et j'ai envie de dire, niveau beauté sans nom, c'est qu'il y en a pas mal ici
Merci, merci
Pourquoi tu te sens visé toi -
« Desmond J. Svensson »
~ Dépot de candidature : 19/04/2012 ~ Bavardages : 876
~ Job : Roi du Sud ! ~ Gps : Sur son thrône
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (0/0) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (0/0)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 11:41
Debra S. Hopkins a écrit:
Timmy K. Madsen a écrit:
Edward P. Smith a écrit:
: Et j'ai envie de dire, niveau beauté sans nom, c'est qu'il y en a pas mal ici
Merci, merci
Pourquoi tu te sens visé toi -
Parce que ça peux pas être toi !
(Always for you Bro' ! )
Salut la future bleusaille !
Invité
« Invité »
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 14:48
Bienvenue et bonne chance pour la suite
« Edward S. Smith »
~ Dépot de candidature : 28/07/2012 ~ Bavardages : 54
~ Job : DÉTECTIVE PRIVÉ - ANCIEN PIANISTE. ~ Gps : SON APPARTEMENT ;
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (100/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (0/0)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 15:56
Merci à vous ! :) Faut que je corrige un peu tout ça, mais normalement c'est fini
« L. Zola Holden-Nell »
~ Dépot de candidature : 17/04/2010 ~ Bavardages : 2453
~ Gps : chez Starbucks
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (11/20) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (0/20)
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 17:08
perfect
« Yohann L. Boris »
~ Dépot de candidature : 03/05/2012 ~ Bavardages : 1077
~ Job : Barman ~ Gps : Chez Dahmer
Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ” Dim 29 Juil - 20:59
WELCOOOOOOOOOOOOOME parmi nous !
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Sujet: Re: Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ”
Edward Soren Smith. | “ – La vie est un voile obscure tissée de mensonges. ”