Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.

Je m’appelle Margot/Miss Apple, mais vous pouvez me nommer Mag', Maggie ou Apple. J’ai 15 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Vanessa Hudgens, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à raison et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est validé par riley Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que je trouve le design très jolie ♥ (si vous étiez sur l'ancien prov', révélez votre identité ici ).

Lindy n'a pas toujours eut une vie facile.
Elle est née le 21 Juin 1991 à Napple, en Italie. Elle y a vécue jusqu'à ses 18 ans. Elle est venue dans cette université pour étudier la littérature comparée afin de devenir Journaliste.

Little girl

Je suis née le 21 Juin 1991 à Napple, en Italie. J'ai toujours aimé cette ville. En effet c'est là ou j'avais toutes mes amies et mes 2 parents. Je ne sais pas trop la signification de "riche" - certains disent que c'est des personnes sens humanité et qui ont eux de la chance dans la vie -. Moi je ne pense pas cela, non pas parce que nous l'étions, mais je pense plutôt que "les riches" sont des personnes qui ont bien réussit dans la vie et qui ont eut ce qu'elles méritaient. Je pars du principe ou il faut travailler pour avoir. C'est pour cela que mes parents m'achetaient tout ce que je souhaitais, en échange de quoi je devais leurs ramener de bonnes notes. Certes, ils pouvaient concevoir que l'on ait quelques lacunes à l'école, mais on peut arriver à tout faire lorsque l'on s'en donne les moyens. Et puis ils étaient bien conscients que j'avais les capacités d'accomplir ce qu'ils me demandaient. Je ne voulais pas être en rivalité avec mes parents, donc je suivais ce qu'ils me demandaient et j'avais ce que je voulais, comme ça tous le monde était content.
Quoi qu'il en soit j'étais consciente qu'il fallait travailler pour réussir. Et j'avais bien l'intention de me donner à fond pour parvenir à mes fins.

We grow up, but it does not change, it's just the mask that falls ...

Arriver à l'adolescence, je n'ai pas vraiment changé ma façon d'être. Je me suis juste forgé un caractère. Car arrivé au collège, on peut dire tout ce que l'on veut -il faut être sympa pour être apprécié-, mais que l'on soit très gentille ou une peste, les gens sont méchants et parle dans votre dos. Et moi, j'étais au départ trop gentille. Et à force de me faire marcher sur les pieds j'ai évidemment dis stop.
Je n'ai pas eux des tonnes de petits amis. Evidemment ce n'est pas ce que je recherche, faire la collection des mecs -ce que font certaines filles-, ne m'intéresse pas. Je me suis très vite laissé prendre par cette idéalisme que nous renvoient les films romantiques. Ce ou l'on voit une fille qui tombe amoureuse de deux garçons à la fois et qui ne sait lequel choisir. Elle en choisit finalement un des deux et elle se marie, a des enfants et "ils vécurent heureux". Dans ces films, on nous montre que l'on peut trouver le grand amour à chaque coins de rues. Ce qui est en vérité un cliché. J'ai appris au fur est à mesure des années que le grand amour est unique et que l'on peut parfois attendre tout une vie pour le trouver. Et après mettre fais avoir pas certains garçons, car "L'amour rend aveugle", je me suis dit que j'allais faire beaucoup plus attention. Et puis l'amour ce n'est pas qu'une question de superficialité comme l'on peut le croire à l'adolescence, non non, c'est bien au dessus de cela. C'est au-dessus de la barrière physique, ça concerne l'être humain. Car ce qui est le plus important c'est ce qu'il y a à l'intérieur de soit. Ce que l'on appel l'être humain c'est ce que nous avons à l'intérieur de nous, en chacun de nous nous avons une personne qui rêverait de trouver le grand amour.

La famille Costagliola avait de moins en moins d'argent depuis quelques temps. Et Je m'en était rendue compte parce qu'a cette période là, au printemps, était le moment ou sa mère faisait des folies financières. C'était l'un des moments de l'année ou elles se faisaient plaisir à elle, et à sa fille.

C'était alors qu'un soir, j'avais surpris mes parents parler d'argent. Ce qui était une règle que mes parents tenaient à tout pris à respecter, on ne parle pas d'argent dans la maison, à part si c'est dans le bureau et que je ne m'y trouve pas.
C'était tout simplement pour éviter de me stresser, "Ce n'est pas aux enfants de se soucier de l'argent de leurs parents", comme disait ma mère. Il est vrai que j'avais tendance à être têtue comme une mule. Et si je venais à apprendre que l'on avait des soucis d'argent, je serai prête à vendre quelques un de mes vêtements et tout mes joués d'enfance -ma mère tient absolument à les garder, "Plus tard tu ne regretteras pas de les avoir gardé" me disait-elle si régulièrement-.

Je viens alors à comprendre quelques mois plus tard, la source de nos problèmes.
Mon père c'était fait viré de son boulot parce qu'il était arrivé au bureau bourré trois fois en une semaine. Il ne s'en était pas remit. Et avait plus que tout, peur de l'annoncer à ma mère. Il parvint donc lui cacher pendant 1 mois. Mais, même si nous avions assez d'argent pour tenir jusqu'à notre mort, il fallait restreindre notre train de vie. Mais pour cela, fallait-il encore parvenir à mettre ma mère au courant. Et mon père était quelque peu lâche lorsqu'il fallait prévenir ma mère d'une mauvaise nouvelle. Je le faisait souvent à sa place parce que ma mère ne me disait rien. Mais ce servir de moi comme messagère aurait était plus que tout, la mauvaise idée. Il se mit donc à jouer au casino, ce qui n'était pas la meilleur ami qu'il est eut.
Il devint vite accro à ces jeux là. Et ma mère ne tarda pas à constater que celui-ci était de plus en plus absent et que le compte en banque se vidait de plus en plus. Ce qui normalement devrait faire l'effet inverse lorsque l'on travaille.
C'est alors qu'une nuit de 4 juillet ma mère veilla jusqu'à 2 heures du matin à l'attendre dans son bureau. Je savais que lorsque maman entrait dans le bureau sens mon père, était mauvais signe, très mauvais signe. Lorsque mon père revint à la maison, j'entendis parler très fort. Vers 3h30 j'entendis crier et mon père sortit du bureau.
Le lendemain matin, alors que celui-ci avait eut l'ordre d'aller chercher du travail en ville, je déssendit pour aller chercher mon petit déjeuner. Je vis ma mère qui se tenait la tête entre les bras et j'entendais quelques reniflements. En réalité, celle-ci pleurait.
Je l'a serra dans mes bras, et elle me souffla dans l'oreille "Je t'aime...", je lui répondis que moi aussi.
J'alla à l'école comme tout les vendredi, mais cette fois-ci il se passa quelques chose de bizarre, tout mes amis me prirent dans leurs bras et me dire que j'aillais leurs manquer.
Le soir, la voiture était bien chargé, j'expliqua à ma mère ma journée bizarre quand, au bout d'un moment je me dis rendit compte que nous rentrions pas à la maison mais allions je ne sais ou.
Je découvris longtemps après qu'il s'agissait de Genes, une ville au nord de l'Italie.
Ma mère m'expliqua tout une fois nos affaires installés.

The nightmare of a teenager



Nous étions en réalité ruinée, et notre maison allait être prit par un uicier 1 mois plus tard après notre départ. Ma mère avait donc quitté mon père pour le laisser se débrouiller tout seul avec ses problèmes d'argent. Vidant la moitié du compte et ne me laissant pas lui dire au revoir.
J'étais tout de même fâché contre ma mère, elle me lui avait pas laissé lui dire au revoir. Et je ne savais même pas quand j'allais le revoir. je ne mesura pas tout de suite les conséquences de son acte. Je ne revit jamais mon père. Et ma mère c'était trouvé un petit boulot de serveuse dans un bar pour pouvoir subvenir à nos besoins. Un jour que je mettait engueulé avec ma mère, ce qui arrivait très rarement, j'avais fuguée. Me laissant marcher toute seule dans la nuit, en jupe dans la ville. je n'avais jamais eut un très bon sens de l'orientation, et la on pouvait vraiment le constater. Ça faisait déjà 3 ans que nous étions arrivé dans la ville, je ne connaissais toujours pas tout les petits recoins, et je ne savais pas me situer. Je n'avais jamais eut peur du noir, je n'étais pas du genre peureuse.
Je sentis un coup de vent soudain, c'est là que je me fis la réflexion que j'aurais pût au moins prendre une veste. Il n'y avait aucun bruit, ce serait-ce celui des voitures sur la route qui était déjà bien loin. J'entendais juste le petit bruit de mes pas lorsque je marchais au bord d'une flaque. Oui, il avait plut aujourd'hui, juste avant que je parte. J'entendis quelques éclats de rire avant de passer devant cette ruelle bien sombre à mon goût. Les rires provenaient d'une bande de jeune derrière moi. Dans la ruelle, j'aperçue une ombre. C'était l'ombre d'un homme. Il ne devait pas être très jeune car celui-ci avait de grandes et larges épaules. Je ne m'arrêta pas et continue sur ma lancée. Quand j'entendis une vois résonner provenant de la sombre et étroite ruelle. L'homme s'approchant me demandant si j'avais du feu. Je lui répondit négativement, vu que je ne fumais pas. Il était bien assez proches pour me toucher -je ne pouvais donc pas m'enfuir- lorsqu'il me dit qu'il adorait le son de ma voix. Il me prit la main et me tira, me disant qu'il voulait me montre quelque chose de très beau. Je résista. Il m'attrapa par les jambes et me souleva vers cette ruelle.
Il me demanda si j'aimais le sport et si j'en faisait. Il me demanda ensuite si j'avais un copain, et depuis combien de temps je n'en avais pas eux. Il me dit ensuite qu'il allait me faire pratiquer un sport nouveau et que je n'avais rien à faire, que ça allait me plaire. Il me demanda en revanche d'enlevais mon haut parce que cela donnait chaud.
Ensuite il me dit que je n'avais qu'à me laisser faire.
Il retira ma jupe, ainsi que ma culotte, prenant conscience de ma résistance, il m'embrassa sur les lèvres, ensuite le cou, puis la poitrine, descendant de plus en plus bas.
Ensuite il se déshabilla à son tour et se coucha sur moi. La suite était bien pire qu'un cauchemar. Cela dura 10 minutes. J'entendis tout d'abord de petits rires lointains, croyant que les portes du paradis avaient enfin envie de s'ouvrir à moi pour me sortir de l'enfer. Puis les rires devinrent de en plus audibles. Le monstre qui se trouvait sur moi se leva d'un bon et se rhabilla en me disant "Choisis le prénom, je ferai le reste avec toi !", c'est mot résonnères dans ma tête pendant un long moment. Je me rhabilla, étant étonné d'être encore vivante.
Je n'étais as encore trop consciente de se qu'il venait de m'arriver. Je commença à marcher, puis je m'arrêta pour m'asseoir. Je me mis en boule, comme pour me faire une carapace.
Quand j'étais petite et que j'avais peur de quelques chose, je m'asseyais comme cela. J'avais l'impression que j'étais dans mon petit monde et que personne ne pouvait venir m’envahir.
Malgré mon petit cocon, la bande de jeunes de tout à l'heure passa à quelques mètres de moi. Je crois qu'ils ne me virent pas. Ils s'était arrêter quelques mètres avant pour fumer, pendant mon agression.
Je les entendais déjà s'éloigner, quand un garçon et une fille passèrent à côté de moi. Ils faisaient aussi partie de la bande de jeunes. Ils voulaient seulement s'éloigner pour rester un petit peu entre amoureux.

Changement de personne

Nous étions en train de nous balader. Mon copain, sa bande de copain et moi même. Les autres étaient loin devant, nous étions un peu isolé, l'histoire d'être tranquille en amoureux. J'entendis des petits pleurs provenant d'une ruelle sombre. Je m'approcha et je vis une ombre par terre. C'était plus précisément celle d'une fille. Elle s'était mise en boule. Malgré le fait que mon copain me demande d'être prudente, je m'approcha encore plus et lui demanda ce qu'elle avait. Elle leva ses yeux marrons/noirs vers moi et je compris tout de suite. Son maquillage avait coulé, et dans ses yeux je pouvais voir de la tristesse, beaucoup de tristesse. Elle avait une marque sur la main. Je voulu regarder en lui prenant la main. Mais à ce moment précis elle là retira brusquement et se mit à pleurer encore plus fort. Je là consola et lui parla pendant un moment. C'est là que je lui tendis la main et celle-ci là prit finalement. Elle avait froid, mon copain retira sa veste et lui donna. Nous ui demandèrent ou elle habitait. Et nous l'y accompagna. Une fois arrivé chez elle, ça mère nous ouvrit la porte et nous fit entrer. Après qu'elle soit aller coucher sa fille, nous lui expliquâmes, et elle nous remercia. Nous donnant en guise de remerciement 50 euros. Bien évidemment nous refusâmes et lui dirent au revoir.

Quelques années plus tard
C'est seulement maintenant, quelques années plus tard après avoir subit ce tragique incident que j'ai enfin daigner en parler. En effet, c'est difficile de vivre avec ça sur la conscience. Pendant longtemps, j'ai vécue avec cette impression de salissure. Oui, j'ai étais salis. On m'a pris ma virginité. J'aurais pu disposer de tout le temps dont j'avais besoin pour faire ma première fois, chose qui devrait-être normalement exceptionnelle. Mais non ! Il a fallut qu'un pédophile face surface pour me détruire.
Je ne dirais pas détruire ma vie, même si ça pourrait être le cas. Bien évidemment, je ne m'y serais jamais attendu, mais voilà que la cerise sur le gâteau est arrivé quelques semaines plus tard. Et je m'en suis rendue compte beaucoup trop tard. J'avais un souvenir de cet horrible incident. Comme si ce n'était pas déjà assez horrible comme cela, j'eux droit à un cadeaux. Mais je n'avais rien demandé moi. Le pire dans tout ça c'est de se rendre compte que certaines personnes appelés autrefois "amis" vous laisses tomber. Il faut éviter de leur apporter la mauvaise réputation "oh ! il traîne avec la fille qui s'est fait violé". Tout ce que j'en dit moi, c'est qu'un ami on le choisi, contrairement à la famille. C'est pour ça que si l'on fait le choix d'être ami, il faut l'être jusqu'au bout. Dans toute les conditions possible. Parce qu'il n'y a pas seulement qu'au mariage que nous disons "pour le meilleur et le pire", il n'y a pas qu'à notre futur fiancé que l'on doit le dire, mais aussi aux amis. Car si se sont vraiment nos amis, nous sommes prêt à tout pour les aider, que se soit dans les plus mauvaises comme dans les plus bonnes postures. Et ça, certains personnes ne semble pas l'avoir bien assimilé. Certaines personnes croit encore que ceci est juste un statut que l'on nous donne. Un statut pour faire jolie.
Mis à part le masque qui est tombé de certains visage qui jadis m'étaient bien familiers, j'ai donné naissance à un certain "Gabriel", il a maintenant 3 ans. Il n'a jamais vu son père, dont je n'ai jamais su le nom. Mais je n'ai pas l'intention qui le rencontre, pour qu'en suite celui-ci lui fasse monter de mauvaises idées à la tête et qu'il reproduise les mêmes choses que sont père. Mais Gabriel entre à l'âge ou l'on pose beaucoup de question. Et il me demande souvent ou est son père, pourquoi ne vit-il pas avec moi, ou encore, si le verra un jour. Je ne veux pas briser son rêve, de rencontrer un jour son père. C'est pourquoi j'ai étais obligé de lui dire qu'il ne le verra jamais. Mais son père est à ma poursuite, il sait mon identité et bien évidemment que j'ai déménagé au Etats-Unis, et que j'ai un enfant qui s'appelle Gabriel. Il a d'ailleurs l'intention de nous retrouver pour que l'on fonde, à nous trois, la famille idéal. Et si je ne voulais pas, il enlèverait mon fils jusqu'à temps que j'accepte. C'est pourquoi, je ne donne aucune infos sur mon passé, et je continus à poursuivre mes études dans le journalisme. Mais je sais bien que cette situation est très délicate et ne pourra pas rester définitivement telle quelle.
Je ne vais pas sur les réseaux sociaux, et je ne le permettrai pas à Gabriel. Bien que celui-ci commence à grandir à une vitesse phénoménale, et que je ne pourrai pas lui mentir éternellement. Et quand il deviendra ado, je pense qu'il aimera aller sur tout ces genres de réseaux sociaux que sont Facebook, Twitter.
Quoi qu'il en soit, je suis prudente, je ne parle pas aux inconnus, je suis méfiante, je ne me laisse pas entraîner et je reste avant tout sur mes gardes...

Je suis sur que vous devez avoir quelques questions à me poser comme par exemple :
Pourquoi ai-je voulu intégrer l'université, quelles sont mes raisons ? les gens me posent souvent des questions de ce genre, et moi je leur répond :
Je rêve depuis très longtemps d'intégrer une université. Et venir dans celle-ci était une bonne opportunité. Surtout lorsque l'on a un bon bulletin comme le mien.
Ou ils me demandent encore Mais puisque vous avez un fils, pourquoi vous lancer dans des études ?
Je leur répond honnêtement Je ne vois pas pourquoi cela serait un empêchement. Justement, il faut bien que je le nourrisse mon fils étant donné que je suis toute seule, il me faut bien un travail, et comment trouver un travail si l'on a pas de diplôme ?
D'autres me posent des questions comme celle-ci Pourquoi Brown ?
Et je leurs dis
Parce que dés mon arrivé aux États-Unis, cette fac m'a parût être la bonne du premier coup d’œil.
Ils me demandent aussi Comment ce passe mon intégration ? Comment les gens me voient ?
Je leurs expliquent en leurs disant que C'est un petit difficile. Déjà je suis plus vieille que toutes les personnes de ma classe.
Ensuite j'ai un emploi du temps spécialement aménagé pour que je puisse m'occuper de mon enfant. Les gens se demandent donc pourquoi je n'ai pas les-mêmes horaire qu'eux. Ils me posent des questions.
Après, même si je ne dis pas que j'ai un enfant, les gens commences à le savoir. Je ne sais trop comment mais ils le savent. Ils me jugent souvent trop vite. Ils ne prennent pas le temps de me connaître.
Le pire je pense que c'est le regard des autres. Je ne m'en suis jamais trop soucié. Mas quand vous avez 18 ans et que l'on vous regarde de travers dans votre lycée, vous vous en fichez pas mal. Après tout vous le faites vous aussi. Vous avez à peu près le même âge que les autres, vous avez donc déjà ce qu'ils pensent.
Mais à mon âge, j'ai pas mal d'années d'écarts avec les autres étudiants. Et le fait que je suis tombé enceinte m'a quelque peu vieillit, de ne pas beaucoup bien sûr. J'ai mûris dans ma tête, je suis mature contrairement à certain, je ne sais donc pas ce qu'ils pensent et c'est très gênant.
C'est pareil, quand vous vous baladez dans la rue les gens vous regarde moins parce que l'on trouve de tout dans la rue. Des grands, des petits, des mamans de 19 ans...Et puis même si l'on vous regarde un petit peu, ce n'est pas tout le monde. Il y a 2 personnes sur 10 qui vont vous regarder.
Dans une université, un lycée, ou un collège. Il y a très peu de variance. Je ne dis pas que tout les gens son pareil, bien au contraire, mais la plupart des personnes sont des jeunes qui sont là pour étudier et qui sont en pleine crise d'adolescence. Ce sont des enfants. Vous ne voyez pas de personnes enceinte ou de maman et ayant déjà leurs enfants. La seule chose que vous voyez c'est des élèves, des ados qui s'amusent, mais rien de vraiment très sérieux.

Peu après que je sois tombé enceinte, j'ai quitté immédiatement mon pays natale, j'ai donc dû renoncer à aller dans l'une des fac ou j'avais postulé et ou j'avais été prise. Ça a était une grande décision pour moi. Et puis, même si je ne voulais pas d'un enfant, maintenant je l'ai et je l'aime. Je préfère faire passer son bien-être avant le mien.