BIOGRAPHIE

Andrew McCartney, est pilote de chasse à l'étranger. Cora McCartney, de son nom de jeune fille : Swann, est propriétaire d'hôtels **** à Milan, Tokyo, New York, Copenhague et Paris. Ils se sont rencontrés dans l'année 1985. De leur union, sont nés trois enfants. Faust, l'ainé. Johan, le cadet. Lucy, la benjamine. Andrew et sa femme ont vécu à Los Angeles avec leurs enfants, dans une ancienne grande maison datée du XVIIe siècle jusqu'en 1998 avant d'emménager à Providence. A cette époque, Faust avait sept ans, Johan cinq et Lucy quatre.

Ce fut en 1998, au mois de mars qu'un gros incendie dévastait la demeure des McCartney. Ce fût en pleine nuit que le drame se produisit. La gouvernante qui s'occupait des enfants pendant l'absence des parents, les avait couché à neuf heures et ce fût avec soulagement qu'elle s'installa sur le grand canapé du salon pour se reposer. La journée avait été longue et fatigante et elle avait simplement envie de rentrer chez elle pour dormir. Mais avant cela, il fallait qu'elle patiente jusqu'au retour de Mrs. McCartney. Son avion atterrissait à l'aéroport de Los Angeles dans moins d'une heure. Un quart d'heure après que Miss Gasgoigne ce fût assise, l'alarme se déclencha. Prise de panique, elle ne sut pas d'abord quoi faire mais l'arrivée du maître de maison Mr. Cook - la rassura davantage bien qu'elle se demandait ce qui avait déclenché l'alarme. Mr. Cook était sorti dehors après avoir conseillé à Miss Gasgoigne de vérifier si les enfants allaient bien. Si Mr. Cook mit du temps à comprendre ce qu'il se passait, car il faisait le tour de la maison pour s'assurer qu'il n'y avait personne, il revint dans la demeure après s'être rendu compte par l'extérieur que l'une des chambres du deuxième étage était en train de brûler. Affollé, il monta rapidement les escaliers et ce qu'il vit lui glaçait le dos instantanément, bien qu'il fasse plus chaud que froid à cet instant précis. Il savait que c'était la chambre de Johan qui été en feu. Derrière un mur de grosses flammes étaient emprisonnés la gouvernante, Johan et son grand frère Faust. Mr. Cook les abandonna quelques instants, provoquant les cris et les pleurs de Faust. Miss Gasgoigne en revanche masquait le visage de Johan pour éviter qu'il panique. Devant la porte, elle aperçut Lucy. Elle ne bougeait pas d'un cil et Mr. Cook l'écarta rapidement de la chambre pour éviter qu'elle prenne peur. Sous son bras, il transportait un instincteur qu'il ne tarda pas à actionner pour en venir à bout du feu qu'il constata plus important encore. Quelques minutes s'écoulaient encore jusqu'à ce qu'il arrive à sauver les prisonniers. Ils s'étaient mit à courir - sans se retourner. Une fois dehors, Mr. Cook contacta les pompiers et c'est à cet instant précis que la voiture de Mrs. McCartney arrivait à hauteur du grand portail en fer qui délimitait la propriété. Elle se mit à courir vers ses enfants et ses employés.
Andrew McCartney fit appel à la police pour savoir si cet incendie était d'origine meurtrier. Ce fût bel et bien le cas et une enquête fut ouverte pour démasquer le ou les coupables. A partir de ce jour, les McCartney avaient embauchés des gardes du corps et ce fut à Providence dans l'Etat de Rhode Island, qu'ils s'installèrent la semaine suivante.

Faust avait depuis gosse, fait comprendre son envie d'étudier à Brown. Si son père aurait préféré le voir étudier à Berkeley, il n'en restait pas moins fier quand la lettre d'admission arriva en plein mois de juin. Ce fût à la rentrée de septembre 2009 que Faust intégra l'université. S'il savait l'existance de confréries, il n'avait au départ, pas spécialement envie d'appartenir à l'une d'entre elles. Mais très vite emportait par son enthousiasme à la vie étudiante qu'il commençait, il révisa son jugement vis à vis de cette tradition et postula auprès des Delta. Nombreux fut les tests auxquels ils avaient été soumis pour mériter sa place. Il n'en a jamais voulu en ses membres de lui avoir mener la vie dure pendant le premier semestre, tout simplement parce que le bizutage était une pratique courante aux Etats Unis. Même si cela avait été dur, il en garde d'assez bons souvenirs. S'il a que cinq véritables amis, il considère les Delta comme sa deuxième famille au sein de laquelle, il a plusieurs frères.
En première année physique et sciences de la terre, sa roue croisa celle de Zola Holden. Une belle blonde auprès de qui, bien qu'il détestait fait ça - il fit le premier pas, car elle lui plaisait peut être davantage que les autres filles qu'il avait put croiser avant. A ses yeux et il ne lui a jamais avoué, Zola avait quelque chose qui l'attirait davantage à côté des autres étudiantes. Il sortit déçu de cette désastreuse expérience. Zola était en couple et il ne l'intéréssait pas. Plusieurs semaines s'étaient écoulées jusqu'à ce qu'il la revoit au réfectoire lors du déjeuner. Ce fut comme un nouveau départ : la première rencontre aux oubliettes. Ils sont devenus très proches et complices et Zola est devenue la meilleure amie de Faust.
La vie étudiante était totalement différente de ce qu'il avait connu avant. Il était loin le temps du collège. Faust évoluait au sein d'un monde différent, un univers complètement décalé auquel il n'aurait jamais cru. Il faut le vivre pour y croire. Les gens ne se ressemblaient pas. Chacuns possédaient sa propre personnalité, ses devises et ses habitudes. Nombreuses étaient les personnes qui appartenaient chacunes d'elles à une confrérie. Trois confréries exclusivement féminines : les Lambda Theta, les Sigma Chi et les Iota Phi Nu. Trois autres exclusivement masculines : les Phi Kappa Tau, les Delta Upsillon et les Alpha Xi Omega. Il y a aussi les Lamba, cette confrérie regroupant les étudiants qui ne voulaient pas appartenir à l'une des six autres. Parmi eux, on y trouve à la fois des garçons et des filles.
Auprès de ses confrères, s'il se montrait assidu dans mon travail, dans certaines matières, il arrivait qu'il négligeait un peu ses bonnes habitudes. Sans doute le fait d'avoir commencé à toucher à la drogue y était pour beaucoup. Cannabis, Shit, Beuh, Cocaïne. Un manège qui l'emmena jusqu'au presque gouffre. Pourquoi avoir commencé ? Pour essayer. Faust n'avait pas spécialement de raisons qui l'ont poussé à consommer de la drogue. Il en fut devenu accro, junkie aussi. Les apparences sont trompeuses, n'est-ce pas ? Faust fut le premier à s'étonner, n'ayant jamais imaginer un jour y toucher.

Ce fut un 4 mars. Il rentrait à la maison familiale, située sur Wayland Square. Il savait qu'il n'y avait personne : son père travaillait en ce moment en Australie et sa mère était à Copenhague pour son travail. Elle avait affaire pour quelques jours, histoire de régler quelques détails. Le silence qui régnait dans la maison ne le surprit pas. Il pensait être seul, Johan étant sans doute dehors et Lucy chez une amie à elle. Il emprunta l'escalier pour monter à l'étage et y visiter sa chambre qu'il n'avait pas revu depuis longtemps sachant qu'il logeait à la confrérie universitaire. Il restait entre les quatre murs de son cocon quelques instants : s'allongeait même sur le lit, détendant tout son corps à s'en faire craquer les articulations. Il laissa échapper un long soupire de soulagement et se redressa. Il regardait les murs, recouverts de nombreux posters de sports (surf, snow, basketball, football américain et skate). Sa planche était restée à côté de mon bureau à la confrérie. Il le regrettait d'un seul coup mais n'y pensait plus trop longtemps. [...]
Il se dirigeait vers la chambre de Johan. La main sur la poignée, il l'ouvrait et il fut instantanément paniqué. Son frère était allongé par terre. Faust le mit sur le dos et lui tapota les joues après l'avoir mit sur le côté. Faut commençait à s'agiter un peu plus à mesure que Johan tardait à répondre. Ses doigts dans sa nuque il cherchait à capter son pouls...en vain. Il avalait difficilement sa salive et respirer devenait de plus en plus difficile. Il n'avait pas sur lui son inhalateur. Il tremblait comme une feuille et commença à lui crier dessus pour qu'il se réveille. Faust le frappait violemment sur les joues mais Johan ne bronchait pas.
Toux sèche, sa respiration devenait sifflante et aïgue, il se sentait de plus en plus oppressé et sentait son front perler. Son rythme cardiaque s'affolait de plus en plus dangereusement. Faust se traina laborieusement jusqu'à la salle de bain ou il fit tomber un gros tiroir en tirant dessus. Sur sa tête et par terre. Il souffrait déjà tellement qu'il ne gémit pas en le sentant tomber sur son crâne. Peut être qu'avec un peu de chance, un inhalateur trainait par là. Ses mains s'agitaient par terre jusqu'à ce qu'il agrippe ce qu'il cherchait. Il prit une dose, celle ci ne soulageant pas ses maux. Il souffrais à la fois physiquement et moralement pour mon frère. Il pensait à son corps inerte dans sa chambre et lui, telle une limace qui agonissait ici, le révoltait. Par un autrement miracle, il arriva à composer le numéro des secours et à travers des souffles courts qui duraient quelques instants, il tâcha tant bien que mal d'expliquer la situation dans laquelle il se trouvait. Jusqu'à perdre connaissance...
Andrew et Cora étaient sous le choc. Au chevet de leur fils Faust qui avait manqué de peu de mourir comme son frère, ils ne cachaient pas leur tristesse. Si les médecins leurs avaient révélé que Johan était mort d'une overdose, il savait aussi bien à présent que Faust en prenait aussi. Lucy était assise devant la fenêtre, les joues noyées de larmes et les yeux gonflés tellement elle avait pleuré. Elle espérait que le frère qui lui restait s'en sort. Elle avait tellement besoin de lui.
Depuis la mort de son frère, Faust n'a jamais plus touché à la drogue. Il n'a pas suivit de traitement spécial, n'a pas séjourné dans un centre pour toxico, ni eut affaire à des éducateurs ou psychologues pour le remettre sur le droit chemin. Cette chienne de vie, s'était chargé personnellement de lui mettre une grosse claque dans la gueule. C'était très dur. Et pour compenser son manque il s'était tourné vers le sexe, en quoi il est presque accroc maintenant. Mais il préfère être nymphomane que drogué jusqu'à la moelle.

CHRONOLOGIE

0000 texte

LIENS

21ANS ✻ AMERICAIN ✻ CELIBATAIRE ✻ HETERO ✻ TROISIEME ANNEE ✻ PHYSIQUE ET SCIENCES DE LA TERRE


Faust est une personne joyeuse, au sourire facile et contagieux. Il possède un humour léger et si certaines de ses blagues laissent à désirer et qu'il est le premier à faire des farces le premier avril, il ne reste pas moins sérieux et appliqué dans tout ce qui est travail. Car s'il passe pour un abruti fini ou grand enfant serait plus juste, l'intelligence ne lui manque pas. Il n'a pas peur des responsabilités et on lui reproche souvent d'être trop perfectionniste et sévère envers lui-même. Sérieux, assidu, il ne néglige pas non plus l'amusement et est un véritable adepte des fêtes. Qu'elles soient en boîte de nuit huppée, dans l'appartement d'un pote, au sein de l'université, au nom de sa confrérie ou encore en plein air, il ne sera jamais aux abonnés absents - sauf si vraiment il n'est pas d'humeur pour x raison. Faust est populaire, très entouré mais peu sont ceux qu'il considère comme ses véritables amis. Il les compte sur les doigts d'une main et ce sont les seules personnes en qui il fait entièrement confiance et en qui il a foi. Il est loyal et déteste être trompé. Ce qui fait de lui par la suite, quelqu'un de cruel car il n’oublie jamais et possède nombreuses idées aussi dures les unes que les autres pour se venger. Il est, on pourrait dire, assez rancunier. Quand il n'est pas notre ennemi, il s'avère être quelqu'un d'agréable et sociable même s'il n'est pas le premier à chercher les embrouilles auprès de ceux qu'ils ne peut pas supporter. Il en faut beaucoup pour en arriver là, car Faust n'est pas du genre à porter de préjugés, pour la simple et bonne raison qu'il trouve cela ridicule. Il est plutôt impassible et ignorant envers les gens qui ne portent pas d'estime à son égard. Après tout, tout le monde est la tête de con de quelqu'un. Si cela peut vous rassurer, il faut vraiment que vous ayez fait quelque chose de grave pour qu'il vous méprise de façon démesurée, à en vouloir presque votre mort, de vous humilier et vous rabaissez plus encore que vous l'êtes à ses yeux. Faust est un charmeur de ses dames, la drague étant son loisir favori après le sexe. Mais sa façon de draguer est particulière car il déteste faire le premier pas. Il préfère de loin de se faire désirer. Il ne croit ni en l'âme soeur, ni au coup de foudre. Il n'est jamais tombé amoureux et la seule femme envers qui il éprouve quelque chose de fort est sa mère - auprès de qui il est très proche. Le mariage est aussi une véritable connerie à ses yeux, et les contes de fées ne sont qu'existants dans les contes pour enfants, histoire de rendre plus naïfs encore les petites filles, en leur racontant qu'un Prince Charmant les attendent quelque part dans le Monde, peut être même sur un Cheval Blanc. Elles ont plutôt affaire à ses yeux à des obsédés limite nymphomanes qui n'ont pas franchement envie de se prendre la tête avec des histoires à l'eau de roses. Il ne l'avoue pas ouvertement mais se considère comme tel, bien qu'il respecte les femmes (même si très sensible à leur corps). Il les voit comme les créatures les plus magnifiques au monde - détail qu'il garde pour lui également. Très tactile, il reste très tendre et affectueux et s'il aime le sexe, qu'il sait faire preuve de férocité pour pimenter l'acte, il sait se montrer délicat et dévoue une passion certaine pour les baisers. Il le fait souvent : c'est quelque chose de presque systématique chez lui, naturel surtout. Il embrasse pour la forme elle même et pas pour ce qu'il peut se cacher derrière. C'est comme une tape dans l'épaule de son meilleur ami, embrasser la joue de sa mère pour lui dire bonjour ou bonne nuit. C'est banal. On peut reprocher à Faust d'être très possessif et jaloux. Il n'aime pas partager et ne se gêne pas pour le faire savoir. Faust sait se montrer très persuasif et même s'il ne cherche pas à manipuler, cela lui arrive parfois sans qu'il s'en rend vraiment compte - pour arriver à ses fins.


→ il aime : la biologie, les mathématiques, emmerder mon monde, faire rire, les dessins animés, pokémon, les jeux vidéos, how i met your mother, faire l'amour au réveil, la tarte aux fraises, le chocolat chaud, les bichocos, la pizza quatre fromage, les douches à s'en brûler la peau, dormir à la belle étoile, dormir, les marshmallows, le sexe, les rousses sur qui il fantasme, les petits seins, le derrière de zola, le rire de zola, le grain de beauté en forme de coeur que zola possède au dessus du sein, la lingerie féminine : surtout en dentelle noire, le nutella, les orages, the zaust list, twitter, son ipod, le ski, le snow, le skate bord, la raclette...

→ il déteste : le café, les migraines, les piqûres, faire le premier pas, l'odeur de l'essence, voir pleurer sa mère, les fast food, les gros seins, la crème de marron, prendre l'avion, les hôpitaux, les gens qui mâchent la bouche ouverte...

CERCLE SOCIAL

''Faust est populaire, très entouré mais peu sont ceux qu'il considère comme ses véritables amis. Il les compte sur les doigts d'une main et ce sont les seules personnes en qui il fait entièrement confiance et en qui il a foi.''


L. Zola Holden-Nell (meilleure amie & sexfriend, number one) → Ils sont arrivés à Brown en même temps et se sont retrouvés dans la même classe, en première année. Au départ, Faust avait sympathisé avec Zola de manière stratégique, parce qu'elle lui plaisait - pour une fois qu'il faisait le premier pas. Cependant la belle, l'a vite recalée du fait qu'elle était déjà en couple. Ils ont tout compte fait établi une relation amicale, qui a vite viré sur une véritable complicité et son devenus désormais meilleurs amis. Depuis que Zola n'est plus avec Soren et entretient une relation libre avec Jhan, les deux BF couchent fréquemment ensemble, si ce n'est tout le temps. (txt temporaire)
Lucas M. Roosevelt (ami, co-pilote, number three) → Ils ne se connaissent pas depuis très longtemps mais pourtant ils ne se quittent plus ; une réelle alchimie fraternel s'est crée entre eux, en si peu de temps. Ils sont désormais co-pilote et s'entraident pour séduire la gente féminine. Ils se lancent même des défis, des paris, pour voir jusqu'où va leur pouvoir de séduction. Mais surtout, ils se soutiennent lorsque cela tourne mal dans la vie de l'un ou de l'autre. (txt temporaire)
M. Dylann Wilde (connaissance) → J'ai rencontré Dylann à une soirée universitaire. Un simple buffet mais quelques bières ramenées clandestinement par des étudiants malgré l'interdiction du Doyen. Elle était prêt du buffet à s'empifrer goulument. Mais je ne portais pas attention à ce détail mais plus à son dos découvert par la robe qu'elle portait, à la courbe de ses reins et à sa nuque découverte. Elle était franchement canon. Je la fixais, pour attirer son attention et cela a marché assez rapidement. Elle est venue me voir, me demandant s'il y avait un problème. Je répondais par une simple invitation à prendre une bière. Dylann a accepté. On s'est retrouvés dehors car le bruit à l'intérieur de nous permettez pas de nous entendre clairement. Car j'en avais envie, je lui ai volé un baiser - court mais cette dernière n'a pas franchement apprécié mon geste. Cela me fait toujours bien marrer, surtout quand je la croise dans les couloirs et que je devine dans ses yeux cette haine envers moi. Comme si ce futile baiser était un geste tout à fait inadmissible. Je mettrais ma main à couper qu'elle soit vierge.

RAJOUTER DAMIAN, NEVEN ET RILEY

RP

info : Ceux possédant un lien avec Faust sont les seuls avec qui je rp. Pour la simple et bonne raison que je préfère avoir un lien établi avec la personne pour pouvoir savoir où je vais. Rdv dans ma fiche de demandes de lien pour avoir la chance de rencontrer Faust. - OFF


life's a game w/zola (en cours)
titre w/damian (prévu)

MEMORIES

Day at the beach with Zola
(April 10 2012)

ZOLA ❤

MALLE

Objets personnels de Faust.

- collier offert par zola pour l'un de ses anniversaires
- la gourmette de zola
- le double du porte-clefs de la plage
- album photo
- une lettre
- un pin’s
- une mini tour eiffel
- un jeton de poker de vegas
- the zaust list
- tee-shirt "propriété de zola"

JOURNAL

00/00/0000 texte

ANNEXE