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Sujet: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:03
Amethyste Zaraha Levy-Jones
Comme la vague irrésolu je vais et je viens entre tes reins. Et je me retiens. Je t'aime. Je t'aime. Oh, oui je t'aime ! Moi non plus.
22 ans ✻ Americaine ✻ New York ✻ Célibataire ✻ Hétérosexuelle ✻ 4éme année d'étude ✻ Ethnomusicologie ✻ Boursière ✻ Serveuse dans un café
MOI EN QUELQUES MOTS…
Je suis écorchée vive. Parlez-moi d’amour et je vous parlerai de concombre et de tomate. C’est aussi beau et intéressant qu’une épluchure laissé sur le côté de la poubelle. Ça finit par pourrir et on balaye tout quand on trouve un moment pour ça mais y a toujours l’odeur qui reste. L’amour c’est pareil. Je n’y crois pas. Je n’y crois plus. Ça vous tu de l’intérieur et vous ne vivez plus après ça, vous survivez. Je suis passée au-dessus de ça. Je n’y porte tout simplement plus d’intérêt. Je ne l’attends pas et je n’en veux pas. Ce n’est pas pour autant que je vais coucher à droite et à gauche. Je ne couche pas. J’embrasse. Je reste une romantique dans l’âme car c’est toujours bon de se faire courtiser. Je profite des âmes esseulées, des âmes qui croient encore à la magie de l’amour. Une fois que les choses deviennent sérieux, j’invente X raisons et je m‘enfuie. La plupart du temps je me sers de ce film français que j’ai vu d’innombrables fois : l’arnacoeur. « Non, je ne peux pas. Tu sais, ce n’est pas toi.. Non tu es merveilleux, c’est moi, tout simplement moi, il est trop tard, je suis brisée et c’est irréparable mais toi tu es tellement beau, tu m’as fait revivre. Alor vas-y, va trouver l’amour, le vrai. » Et ça s’arrête là. Pourtant, je ne suis pas quelqu’un de renfermée. Bien au contraire. J’aime les gens et j’aime la vie mais comme tout le monde j’ai une part d’ombre qui certains jours est plus présente que la ville et qui le sera moins le lendemain. Je suis quelqu’un de très sociable et je vais facilement à la rencontre des autres. A croire que je suis née pour ça. On m’a souvent catalogué de ‘’bouffée d’air frais’’. Apparemment je fais tellement de bien au corps et surtout au cœur que ma compagnie en devient agréable. C’est tout moi ça. J’aime faire du bien aux gens et j’espère un jour pouvoir changer le monde Changer le monde par la musique peut être. Pourquoi ne pas devenir musicothérapeute. J’y ai beaucoup réfléchit et c’est ce que j’ai toujours rêvé de faire. Guérir les maux avec des mots et de la mélodie. Ca a si bien marché pour moi alors pourquoi ça ne marcherai pas pour les autres ?
OH MY GREEK !
LAMBDA THÊTA PHI Même le caractère les plus fort sont contrait de se calmer et de prendre sur eux pour réussir. J'ai pas eu la vie font je rêvais forcément et j'ai du énormément travailler pour m'en sortir. Je ne suis pas l'incarnation de l'élève modèle mais une chose est sûr, c'est que je me bats pour obtenir ce que je veux et là, en l’occurrence, je souhaite réussir réussir mes études et je m'en donne les moyens. Je n'ai pas l'argent qui suit alors je me dois d'être la meilleure pour garder ma bourse afin d'arriver au bout de mon souhait. Déterminée et droite, je n'en reste pas moins une jeune femme pleine de vie et qui aime s'amuser. Soirée, beuverie, bouffe entre potes, tous ça fait partit de mon quotidien et je m'accorde au moins ça pour le travail que je fournis. J'en ai même besoin si je ne veux pas devenir folle. Entre l'ivresse de mon inconscience et mon sérieux d'adolescente, je réussis tant bien que mal ma vie parmi les Lambda Thêta Phi.
CARNET DE SANTÉ
Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.
✻ Parle moi de lui, raconte moi sa vie…Signe astrologique : Cancer Couleur préférée : Rouge Goûts musicaux : De tout. Style vestimentaire : Aucun en particulier Croyance religieuses : Athée. Sexualité : Si je te dis que je suis vierge, tu me crois? Tabac / Alcool / Drogue : Oui / Oui / Oui Perspective d’avenir / rêve : ici votre réponse courte
TAILLE :
POIDS :
GROUPE SANGUIN :
ALLERGIE(S) :
MALADIE(S) / ANOMALIE(S) :
SIGNE(S) PARTICULIER(S) :
PHOBIE(S) :
COMPLEXE(S) :
C’EST MOI CONTRE LE MONDE ENTIER
Je m’appelle REDSOUL, mais vous pouvez me nommer C. J’ai 18 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Clémence Poésy, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à Billie-Jean Reynalds et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est validé par red Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que Life is a Joke.
Dernière édition par Amethyste Z. Levy-Jones le Lun 11 Juin - 22:15, édité 9 fois
Invité
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Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:03
BREF, VIE DE MERDE !
❝ Quand j'étais petite, j'ai toujours rêvé d'être une princesse. ❞
Moi, j’étais là, assise sur le sol, admirant ma jeune sœur évoluer, commençant à faire ses premier pas, elle m’avait devancé et ça a toujours été comme ça. « Mon dieu, chéri, Rosy est tellement mignonne ! Viens voir ! Dépêche-toi ! » Nous avions à peine deux ans et 4 ans et nous étions déjà les reines du monde. Maman actrice et papa journaliste sportif. On les voyait peu et même si nous étions très jeunes, je les aimais plus que tout au monde. On ne peut imaginer une vie sans parents et inconsciemment je savais que sans eux, mon monde serait bien triste. Très pris par leurs travails respectifs, c’était souvent notre nounou qui nous gardait. Nany. Elle s’est longtemps occupé de nous, jusqu’à ce qu’on n’ait plus besoin d’elle et elle faisait partit intégrante de la famille ce qui la rendait indispensable au bon fonctionnement de celle-ci et elle était là pour combler les trous d’amour que nos parents créaient en nous mais à chaque retrouvailles, c’était un éclatement de joie et d’affection comme on avait rarement. C’était tout ce dont on avait besoin de toute manière. Quand on prend vie, on ne recherche qu’une seule chose : aimer et être aimé en retour. Voilà pourquoi les humains naissent et meurent. C’était ce que nous disait Nany. Elle nous a toujours dit depuis toutes petites que notre but dans la vie était de trouver quelqu’un avec qui partager sa vie. Quelqu’un ou quelque chose mais surtout quelqu’un. Elle, elle avait trouvé son quelqu’un enfin quelque chose qui y ressemblait. Elle nous avait trouvé nous. Et elle en avait trouvé d’autre. Elle se faufilait de famille en famille, laissant une marque indélébile et disparaissait aussitôt son devoir accomplit. C’était tout ce dont elle avait besoin. La famille dans laquelle elle travaillait devenait presque la sienne. Incapable de faire des enfants, elle s’était mis à adopter les enfants des autres et s’en occupait comme si c’était les siens et c’était vraiment la sensation qu’elle nous donnait. Elle était comme une tante, une mère, une sœur, une copine. Un peu tout à la fois. Gardant nos secrets, nous guidant dans la vie, nous faisait des fois des remontrances quand on le méritait, enfin elle assurait un tas de rôles même celui de soutiens quand il s'agissait de parents comme les notre qui ne se sentaient pas capable d’assumer deux enfants avec tout le travail qu’ils avaient. Moi et Rosy ne demandions rien d’autre. C’est peut-être d’ailleurs la situation qui a fait que nous sommes aujourd’hui aussi fusionnelles. A défaut de pouvoir compter sur nos parents, nous comptions l’une sur l’autre. Moi, la petite fragile, frêle et très peu sure d’elle, face à Rosy, la dure à cuir, vaillante et forte. Et déjà à à peine quatre ans elle montrait à quel point elle était capable de s’en sortir seule. Marchant, parlant la première. La première à courir, à s’exprimer quand elle n’était pas contente. Je vouais un total culte à la personne qui me servait de sœur. Et je n’imaginais pas à cette époque à quel point elle serait importante, à quel point je ne pourrais plus vivre sans elle. C’était ma soeur et elle allait l’être pour le reste de mon existence. Mon double. Et je l’ai toujours considéré comme tel. Nous étions ensembles depuis le début et nous le seront jusqu’à la fin. C’était aussi simple que ça. Rosy à la force mentale d’un garçon et moi à la sensibilité inégalable. Nous étions des princesses, et dans un futur proche, nous allions conquérir le monde, j’en étais persuadée du haut de mes deux ans. « C’est vrai qu’elle est belle notre fille. » Il vint me voir et me prit dans ses bras. « Toi aussi t’es magnifique, viens là. »
❝ J'ai commencé à apprécier la vie quand j'ai vu qu'elle m'échappait. ❞
J’étais allongée dans mon lit d’hôpital. Je m’étais réveillée ne me souvenant plu de ce que je faisais, ce que je disais ou j’étais. J’étais morte pour quelques heures. J’ai fermé les et mit énormément de temps à les rouvrir. Un mal de crâne qui m’a assommé et fait perdre connaissance. Cela m’était déjà arrivé mais jamais de cette intensité. C’était impressionnant et je n’étais pas capable de dire à quel point j’avais souffert. Et me voilà sur un lit, un tas de tuyaux branché sur mes bras, me transperçant la peau et je ne pouvais pas bouger. Ma famille était autour de moi et j’étais incapable de comprendre ce qui se passait autour de moi. Tout le monde s’agite autour de moi et je ne comprends toujours pas. J’ai toujours imaginé une chambre d’hôpital. Souvent, dans les films, on les voit comme des pièces d’abord froide et simple puis elle finisse par se réchauffer et devenir beaucoup plus belle avec l’histoire des personnes et les sentiments qu’ils nous transmettent, mais moi, j’étais là, tentant de réfléchir à ce que pourrait bien être ma vie quand j’allais en sortir car je savais que tout ça n’était pas anodin et je ne remarquais aucune chaleur, aucun bon sentiment qui pourrait me faire croire que ça ira mieux. J’étais totalement perdu. Tout le monde s’agitait de manière incessante et fatigante autour de moi et je n’avais même pas l’envie de répondre, de dire que ça allait. Je me contentais de sourire et hocher la tête. Après tout, que pouvais-je faire de plus que ça ? « Bonjour.. Je suis le docteur Rosberry. Je pourrais vous parlez en privée s’il vous plait ? » Se tournant vers mes parents, il n’a même pas daigné me jeter un regard. « Euh excusez-moi, c’est de moi qu’on parle alors je pense que si quelqu’un doit être au courant de quelque chose c’est bien moi et personne d’autre. »« Bien, si vous insistez. » Il marqua un temps, repositionnant ses lunettes et regarda mes résultats puis enleva ses lunettes et me regarda. « Vous êtes atteinte d’une adénomes hypophysaires. C’est une tumeur qui née dans l’… » Et je n’ai plus rien entendu. M’enfermant d’une bulle infranchissable, je venais d’apprendre que la mort était près de moi, en moi et que je n’avais aucun moyen d’y échapper. Le médecin expliqua qu’elle était petite et qu’elle mettrait peut être du temps à grossir et à devenir vraiment dangereuse, qu’elle me provoquerait ce genre d’accident mais qu’elle restait intouchable. Il n’y avait donc aucun moyen de m’en aller de cette hôpital sans. J’étais condamnée. Tout s’est passé très vite ensuite. Ils m’ont gardé deux nuits puis m’ont laissé partir. Ce qu’il me restait à faire ? Venir régulièrement à l’hôpital et prier pour qu’elle ne se développe pas et selon les docteurs j’avais de la chance. Mais elle est où la chance là ? Je venais d’apprendre que je ne vivrais pas plus vieille que 30 ans, que je pouvais mourir d’un instant à l’autre, que je n’aurais surement jamais la possibilité de devenir maman, une vrai, que de toute façon, à quoi ça servait d’aimer si c’est pour ne pas pouvoir en profiter jusqu’au bout. Il me restait quoi ? J’ai toujours rêvé de ces choses quand j’étais petite. Toute petite fille rêve d’un beau mariage, d’enfant, de 3 chiens, de 11 enfants, d’un château, et moi il ne me restait que l’espoir. L’espoir de survivre.A ce stade, je ne vivais plus, je survivais.
Dernière édition par Amethyste Z. Levy-Jones le Mar 12 Juin - 6:03, édité 6 fois
Invité
« Invité »
Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:03
BREF, VIE DE MERDE !
uc
Dernière édition par Amethyste Z. Levy-Jones le Mar 12 Juin - 6:06, édité 1 fois
« N. Riley Drosky-Lambert »
~ Dépot de candidature : 16/04/2010 ~ Bavardages : 2356
~ Job : SERVEUSE AU THE CHEESECAKE FACTORY ~ Gps : DANS MA CHAMBRE
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (65/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (20/20)
Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:09
Clémenceeee bienvenue et bonne chance pour la suite
« Debra S. Hopkins »
~ Dépot de candidature : 27/05/2012 ~ Bavardages : 845
~ Job : Not Yet ~ Gps : Là où tu ne m`attends pas
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (95/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (100/100)
Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:12
Bienvenue, & bon courage pour la suite de ta fiche !
« Yohann L. Boris »
~ Dépot de candidature : 03/05/2012 ~ Bavardages : 1077
~ Job : Barman ~ Gps : Chez Dahmer
Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:22
Clééémence ! très bon choix ^^ Bienvenue et courage pour ta fiche
« Jazz A. Johanson »
~ Dépot de candidature : 28/04/2012 ~ Bavardages : 1427
~ Job : Dormir. ~ Gps : Blackstone Park.
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (88/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (78/100)
Sujet: Re: AMETHYSTE ZARAHA LEVY-JONES ▬ je vais et je viens entre tes reins. Lun 11 Juin - 20:27
Clémence, on la voit pas beaucoup. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche.
« Jamie O. Sanders »
~ Dépot de candidature : 14/04/2012 ~ Bavardages : 1861