New-York, une ville magnifique, lumineuse avec ses grands buildings. Je ne voulais pas la quittai. J'y étais tellement bien, mais je devais tout quitter et partir. Mes parents enfin surtout ma mère est du genre à se préoccupaient plus de sa petite personne que de moi... cela a toujours été et ce sera toujours, je me demande même pourquoi et j'espère encore le contraire. Quand on vous dit qu'un jour vous regrettez certains de vos choix et bien maintenant j'y crois. Bien qu'en réalité ce n'était même pas mon choix...
Je suis née à New-York. Mes parents s'étaient rencontrés lors de leurs études à l'université, mais le temps avait bien avancé et au moment de ma naissance. Le 15 juin de l'année 1992, je vis enfin le jour dans un grand hôpital. Ma mère ne voulait pas avoir d'enfant et me rejetait pendant longtemps tandis que mon cher papa me comblait d'amour et le destin voulu qu'il n'ait pas d'autres enfants que moi, ma mère trompait mon père, ce qui l'est poussa à divorcés à mes quatorze ans. Ma mère avait malheureusement ma garde à cause du boulot trop prenant de mon paternel mais sa ne m'empêcha pas d'avoir de bonnes relations avec lui malgré son absence.
Je grandis, presque comme pour punir ma mère, elle me trouva une nurse durant presque toute mon adolescence et je la voyais rarement. Il paraît que c'est comme ça qu'on fait dans les bonnes familles. Je n'étais pas une enfant méchante, ce qui devait sans doute faciliter la tâche à tout le monde. L'adolescence fut marquée par mon plus grand complexe... mon corps. Bien sûr que j'allais dans des établissements privé depuis que j'étais petite, mais même là-bas, quand vous n'êtes pas aux goûts des autres on vous ennuie. Je ne me trouvais pas jolie du tout. On avait dû me mettre un appareil dentaire, j'étais plus plate qu'une planche de repassage. La seule chose que je n'avais pas, c'était les lunettes, heureusement! J'étais la risée de tout le monde, je ne savais pas si c'était pour mon physique ou ma personnalité qui devait en énervé plus d'un. Ma mère ne me réconfortais pas au contraire, elle disait que je le méritais et que si tout le monde ne m'aimait c'était parce que je faisais beaucoup de mal. C'est à 15 ans, que tout changea... Je ne sais pas comment j'ai pu changer si radicalement, du vilain petit canard pour devenir ce qu'on appellent "un canon" et les mecs qui m'avaient toujours ignoré, s'était mis à me courir après pire qu'un groupe de Bonobos en manque.
Quand cette fameuse soit-disant"crise d'adolescence" disait-on arriva je n'écoutais personnes, j'allais au bout de mes envies, j'avais de mauvaises fréquentations, je buvais mais j'allais tout de même faire mes dix-huit ans dans les mois qui suivaient. Enfin bref je n'étais pas la charmante fille que rêvent les parents. Un jour elle rencontra Jackson Nell, son futur nouveau mari. Un homme simple et souriant, je m'entendais bien avec lui mais je ne pouvais pas comprendre comment il voulait d'elle, aussitôt mariés, aussitôt je devais aller vivre avec eux malgré moi, Jackson avait une fille qui avait deux ans de plus que moi et dont je ne connaissais pas encore l'existence jusqu'a ce qu'on me la présente.
Zola...j'ai détesté cette fille dès l'instant où je l'ai vue, pourquoi? je ne sais pas, le courant ne passé pas mais alors pas du tout et c'était pareil de son côté, nous nous parlons rarement voir jamais et c'est très bien comme ça vu que j'ai été contrainte de la suivre à l'université Brown parce que "Vous allez êtres plus proches et crées plus de liens maintenant que vous êtes soeurs" comme disait ma mère. Malgré cette histoire, je retourne souvent à New-York quand l'occasion se présente avec elle pour rendre visite à la famille.