Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque enseignant pour surveiller quelconque signe de stress trop intense, de dépression ou encore d'envie suicidaire. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical et je suis surtout là pour vous aider.

Je m’appelle Maurane, mais vous pouvez me nommer ROMS. (pseudo). J’ai 17 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Anne Hathaway, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à Bazzart et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est Validé par Zo' Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que j'étais sur l'ancien providence il y a longtemps mais impossible de me souvenir de mon pseudo. Je jouais un poste vacant avec Ed Westwick en avatar..

Le soleil brillait de milles feux dans le ciel sans le moindre nuage. C'était une parfaite journée d'été, chaude sans être étouffante. Une légère brise d'air frais se baladait dans les rues. Harmonie était allongée sur le bord d'un ruisseau qui coulait calmement. La sécheresse permanente l'avait grandement asséché, mais le son qu'il produisait était toujours aussi agréable aux oreilles de la demoiselle. Cet endroit était pour elle, un lieu important. Elle venait souvent s'y recueillir avec un bloc de papier grain et quelques crayons gras. Elle n'avait trouvé d'endroit plus favorable à son esprit artistique. Et quelque peu reculé, elle ne l'avait montré qu'à une seule personne... Adam. C'était son meilleur ami depuis plus de quatre ans et il était le seul en qui elle avait confiance. Il était prévu qu'il la rejoigne vers seize heures. Il ne restait donc plus que dix minutes avant qu'il n'arrive. Inconsciemment, la jolie brune était impatiente de le voir. Une poignée de minutes plus tard, elle entendit le feuillage craquer à côté d'elle, puis apparu le doux visage d'Adam. Un large sourire se dessina alors sur le visage d'Harmonie. « Tu as eu le temps de dessiner un peu ? Pourquoi est-ce que tu fais toujours le portrait des autres et que personne ne fait jamais le tien ? » demanda-t-il d'un ton enjoué. Harmonie le fixa de ses grands yeux. Elle n'avait jamais envisagé le fait que l'on puisse la dessiner. Cela l'amusait. Elle se voyait toujours en tant qu'artiste et non pas en tant que passionnée. Et c'était ce qu'elle aimait chez Adam. Il lui ouvrait toujours un peu plus les yeux.

Legi, Patres colendissimi, in Arabum monumentis, interrogatum Abdalam 1 Sarracenum, quid in hac quasi mundana scaena admirandum maxime spectaretur, nihil spectari homine admirabilius respondisse. Cui sententiae illud Mercurii adstipulatur: Magnum, o Asclepi, miraculum est homo 2. Horum dictorum rationem cogitanti mihi non satis illa faciebant, quae multa de humanae naturae praestantia afferuntur a multis: esse hominem creaturarum internuntium, superis familiarem, regem inferiorum; sensuum perspicacia, rationis indagine, intelligentiae lumine, naturae interpretem; stabilis aevi et fluxi temporis interstitium, et (quod Persae3 dicunt) mundi copulam, immo hymenaeum, ab angelis, teste Davide4, paulo deminutum. Magna haec quidem, sed non principalia, idest quae summae admirationis privilegium sibi iure vendicent. Cur enim non ipsos angelos et beatissimos caeli choros magis admiremur? Tandem intellexisse mihi sum visus, cur felicissimum proindeque dignum omni admiratione animal sit homo, et quae sit demum illa conditio quam in universi serie sortitus sit, non brutis modo, sed astris, sed ultramundanis mentibus invidiosam. Res supra fidem et mira. Quidni? Nam et propterea magnum miraculum et admirandum profecto animal iure homo et dicitur et existimatur. Sed quaenam ea sit audite, Patres, et benignis auribus pro vestra humanitate hanc mihi operam condonate