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Timmy K. Madsen

« Timmy K. Madsen »


~ Dépot de candidature : 30/08/2011
~ Bavardages : 1162

~ Job : LIVREUR DE JOURNAUX.
~ Gps : SALLE DE GYM, SUR UN RING, A FAIRE CHIER LES DENTS DES ADVERSAIRES.


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MessageSujet: I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J.   I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J. EmptyMar 24 Avr - 15:21

« I'LL BE FINE. THANKS. » Billie-Jean & Timmy.



Non, je ne passe pas toutes mes soirées à chercher les emmerdes dans des endroits plus désagréables les uns que les autres. Tout comme il m’est impossible de me retrouver sur un ring au milieu des cordes pour gagner de la thune. D’accord, ça m’arrive relativement souvent d’être dans l’une des deux situations et j’en prends énormément de plaisir. La psychologue de Brown m’a déjà rappelé à l’ordre plus d’une fois concernant cette double personnalité qui me tenaille, ce Tim’ qui n’est fait que de rage et de colère – soit disant des séquelles dû à mon enfance, face au petit garçon qui s’est vu obligé de devenir adulte avant l’heure. Sauf qu’en tant que non-boursier, j’avais énormément besoin d’argent. Ce n’était pas avec mon misérable salaire de livreur de journaux hebdomadaire que j’allais réussir à décrocher mon diplôme. Alors il faut bien l’avouer, mon père avait pris une bonne décision (pour une fois dans sa vie) en m’apprenant à me battre. Ma rancune contre le monde entier faisait le reste, laissant l’amas de muscles que j’étais devenir une machine à combattre, ou plutôt abattre, mes adversaires. Un bien pour un mal, un mal pour un bien, c’est comme ça que la terre entière fonctionne et je m’en étais rendu compte bien des années auparavant. Sauf que ce soir, rien n’était prévu pour que je finisse la tête couverte de coupures. Non. Pas de coup de poing dans la gueule ce soir, juste de la détente et pourquoi pas, une bonne soirée. Par bonne soirée, je n’entends pas faire comme presque tous les étudiants de Brown, c’est-à-dire trouver un plan cul, tirer son coup et finir quand même seul dans son lit. D’une part parce que je n’avais strictement aucune dépendance au sexe et d’autre part parce que j’avais plus de valeurs que ce que tout le monde pensait. Ca a donné lieux à pas mal de moqueries et discussions à mon sujet, surtout lorsque je passe dans les couloirs de l’université, du genre « Un fou ce mec. » « Un gros con. » « Pas assez bien pour nous. » et malgré mon impulsivité, je les laissais parler. En trois ans, s’il avait fallu que je casse la tête à tous mes détracteurs, je serais déjà en prison à perpétuité, voire la peine de mort selon les Etats. Anyway, l’heure était tardive, surement la minuit passée, et j’étais toujours dans cette sorte de restaurant que je n’avais pas l’habitude de côtoyer. Avec l’un de mes amis (ou plutôt une connaissance), je m’étais arrêté pour prendre un verre dans l’arrière du bâtiment aménagé en sorte de petit pub irlandais. C’était bien vu de placer la partie restaurant en façade et un petit bar à l’arrière. Assez chic d’ailleurs, on y trouvait une table de billard à laquelle j’avais fait plusieurs parties en sirotant quelques bières. Mon comparse était partie depuis un bon moment, me laissant seul. Car j’avais réussi à lancer quelques défis au billard. La queue en main, j’avais écrasé tous mes opposants et récoltés pas mal d’argent. Qui a dit qu’on ne pouvait pas lier l’utile à l’agréable ? Un français surement. Moi j’y arrivais. Canette de bière à la main, je comptais la petite liasse de billet en jetant un œil au comptoir. Il me semblait avoir déjà vu la serveuse. Sans doute une étudiante. « Elle est pas mal hein Jax. » « Carrément… J’me verrais bien entre ses fesses, t’imagine même pas… » « Fonce, elle arrive, regarde ! » Témoin de cette discussion, je relevais la tête pour voir la serveuse aux longs cheveux s’arrêter à la table à côté des jeunes adultes en costard – surement des jeunes loups de la bourse. « Mate moi ce cul Jax ! » Et cet idiot qui se marrait dans son coin en compagnie de ses deux amis qui en faisaient autant. Ok. Là c’en était trop. La canette que j’avais dans les mains vola jusqu’au mur, éclaboussant l’insolent du coin de morceau de verre et de bière. Directement, les deux autres me fondirent dessus, prêt à en découdre, mettant le brouhaha dans la partie bar de l’établissement. Dès lors, ce qui se passa autour ne m’intéressait plus. J’ai perdu ma liasse de billet au passage, sentit un poing m’arracher l’arcade sourcilière droite avant de recevoir un genou dans l’abdomen. J’avais beau me débattre comme un diable, l’un des deux m’avait bloqué les bras. J’allais me prendre un nouveau coup de poing au visage quand le gérant intervient. Manque de bol pour ces trois-là, il les avait déjà dans le collimateur lorsque, après une soirée bien arrosée, ils avaient tout mis sens dessus dessous. « Foutez-moi le camp, j’veux plus vous voir ici ! » Etrangement, il me fit un signe de tête signalant que pour moi, tout était ok. Je répondis d’un signe affirmatif en passant ensuite ma manche sur mes lèvres ensanglantées. Moi qui voulais une soirée tranquille, c’était raté. Encore une fois, j’étais le seul fautif. Fais chier…
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MessageSujet: Re: I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J.   I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J. EmptyMar 24 Avr - 20:01

    he ate my heart, he a-a-ate my heart (you little monster) he ate my heart, he a-a-ate my heart (you amaze me) look at him, look at me, that boy is bad, and honestly he's a wolf in disguise but i can't stop staring in those evil eyes.

    « La colère, ça fait vivre. Quand t’es plus en colère, t’es foutu. » Si cette citation était vraie, alors Billie-Jean était déjà à moitié foutue vu le nombre de fois où elle retenait toute cette colère en elle mais, contrariétés et boulot étaient de pair et ça elle l’avait bien comprit. Qui était le crétin qui avait décrété « que le client est roi » enfaite ? Si elle le savait, elle serait bien venue lui donner deux ou trois gifles histoire de lui remettre les idées en place. Evidemment certaines phrases plaisent uniquement lorsqu’on se trouve à la bonne place, ce qui n’était plus du tout le cas maintenant que la demoiselle passait la moitié de son temps au Johnny Rockets. Des fois elle se demandait pourquoi elle avait choisi ce restaurant d’ailleurs, elle avait peut-être trop prêté attention à l’originalité d’apparence plutôt qu’aux genres des clients, malheureusement eux n’avaient rien qui sortaient de l’ordinaire et étaient plutôt chieurs & collants qu’autre chose. C’est quand elle se remémorait ces rencontres là, qu’elle se rappelait aussi du jour de son entretien où le patron avait l’air particulièrement surpris de voir une fille pareille, il devait pas vraiment avoir l’habitude de voir des campagnardes mignonnes et ça avait l’air d’être un bon point, comme s’il s’attendait déjà à ce qu’elle fidélise la clientèle masculine. Habituellement notre boucle d’or accordait beaucoup de valeur à la fidélité comme les autres filles mais, ce genre de fidélité là elle s’en passerait bien et préférait largement être la cocu numéro plutôt que d’avoir à se les coltiner jusqu’à la fin de sa scolarité. Heureusement il n’y avait pas que du mauvais dans son travail, elle pouvait compter sur le soutien d’Arya qui l’avait beaucoup soutenu dans les moments où elle était à la limite d’exploser, c’était peut-être même sa seule raison de ne pas démissionner le plus tôt possible. Peu de gens étaient solidaires avec elles, elle était souvent regarder bizarrement parce qu’elle n’avait pas de vêtements Guess ou de sacs Lancaster, elle était là avec ses jeans et ses chemisiers à carreaux, elle ne cachait pas du tout qu’elle venait d’un autre milieu et elle en était plutôt fière malgré ses difficultés financières, il serait trop bête de renier ses origines pour faire plaisir aux autres pas vrai ? Les valeurs, on les a ou on les a pas c’est tout. Lorsqu’elle faisait la plonge, il lui arrivait souvent d’imaginer tous ceux qui se foutaient d’elle à sa place, ils ne tiendraient même pas une seule minute tellement qu’ils étaient habitués à être assister et ça, ça l’a faisait bien rire. Non on ne pouvait pas être supérieur sur tous les points rien qu’avec un paquet de jolis billets, elle en était persuadée et tenait à leur tenir tête jusqu’à la fin même si elle devait mettre sa santé mentale en péril, c’était ainsi que sa mère l’avait élevée et c’était comme ça qu’elle allait rester.

    Sous sa façade de serveuse toute mignonne habillée dans le style des années 50, elle restait tout de même nerveuse à l’idée de devoir encore se serrer les dents à l’idée d’être impuissante face à une quelconque situation, encore plus celle où il avait ces hommes qui lui causaient tant de problèmes. Appuyée contre le bar, elle regardait l’horloge en fixant les aguilles, comme si elle avait le pouvoir d’accélérer le temps et d’éviter d’avoir à ce prendre la tête pour la même occasion. Cet instant de solitude ne dura pas bien longtemps puisque plusieurs clients entrèrent, certains s’attardèrent sur le billard tandis que d’autres s’approchèrent d’elle pour commander leurs fameuses bières qu’elle appelait souvent ‘ boisson sacrée ’. Billie-Jean n’aimait pas particulièrement servir de l’alcool, il y avait toujours cette crainte qu’ils en abusent et fassent des gestes déplacés, voir pire qu’ils saccagent le restaurant et qu’elle soit prise pour responsable parce qu’elle n’avait rien pu faire. C’était dans des jours comme ça où elle n’avait que des clients masculins qu’elle se rendait le plus souvent possible aux toilettes, un refuge dans lequel elle se sentait en sécurité puisque l’accès n’était pas des plus faciles à trouver pour ceux qui ne travaillaient pas ici. Alors qu’elle s’appliquait un rouge digne d’une Marilyn Monroe, elle cru entendre un soudain vacarme venant du bar et s’arrêta immédiatement lançant tomber par terre son tube. Malheureusement elle venait trop tard du moins c’est ce qu’elle croyait puisque son gérant était déjà là, c’était tellement rare de le voir prendre des initiatives qu’elle en poussa un soupire de soulagement. N’ayant pas toujours conscience de l’effet qu’elle pouvait avoir, elle n’avait aucune idée de ce qui avait pu entraîner la bagarre mais, elle cru comprendre que le gentil de l’histoire était l’homme aux lèvres saignantes, elle prit donc le soin de chercher un mouchoir avant de le rejoindre et de passer un coup sur ce sang qu’elle ne voulait pas voir. L’on pouvait lire dans ses yeux une certaine incompréhension, elle ne comprenait jamais pourquoi les hommes avaient toujours besoin d’en venir aux mains pour régler leurs conflits, à croire qu’on était dans la jungle. Pendant que son patron prenait le chemin de la sortie, la blondinette en profita pour glisser quelques mots :
    « C’est pas un ring ici mon coco. » Ce n’était pas vraiment courant d’entendre Billie sortir ce genre de mots, elle était plutôt du genre à sortir des insultes à moitié cacher et à jeter des regards noirs à ceux qui foutaient le bordel, après tout c’était à cause d’eux que le restaurant perdait de sa tranquillité donc elle n’avait pas à être tendre avec eux. « Si t’as pu avoir la force de te bagarrer, c’est que t’as la force de tenir comme un grand, pas la peine de compter sur moi pour t’aider j’ai été assez gentille comme ça. » Favoriser un client devant certains qui n’avaient rien fait de mal, n’était pas bon pour son image alors même si le gérant jugeait qu’il n’était pas le méchant, elle ne comptait pas lui faire un traitement de faveur. Elle ne cherchait même pas à savoir pourquoi il c’était bagarré, les raisons étaient souvent futiles et elle n’avait pas vraiment envie d’entendre de nouvelles conneries pour expliquer cette action. Repartie au bar, elle prit un verre et commença à le nettoyer, tout en jetant un regard au type dont elle ne savait toujours pas le nom, avant de dire : « T’es plutôt du genre à chercher les emmerdes toi non ? » Certes c'était une conclusion facile mais, Billie-Jean avait l’impression d’un peu se reconnaître en lui, après tout elle était quand même une sacrée tête lorsqu’elle était au collège, ce qui pouvait expliquer le fait qu’elle ne l’ait pas jeter à l’extérieur comme la dernière des ordures.

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MessageSujet: Re: I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J.   I'll be fine. Thanks. Ҩ w. B.J. EmptyMer 25 Avr - 20:50

« I'LL BE FINE. THANKS. » Billie-Jean & Timmy.



Comment perdre ses moyens en l’espace de quelques secondes ? Méthode par Timmy Kay Madsen, premier du nom. Prenez trois mecs en apparence sympa, costume hors de prix, coiffure laqué, teint irréprochable. Surement même une belle grosse montre en or au poignet et des chaussettes en poil de daim. Une jeune femme dans les parages, suffisamment belle pour attirer l’attention des trois gars que je viens de décrire, mais pas vulgaire au point qu’ils en viennent à lui lancer ouvertement des allusions perverses. Finissez par me mettre non loin de ces mecs. Evidemment, ça ne pardonne pas. J’ai rapidement perdu mon sang froid en les entendant parler sur la jeune serveuse. Pas l’une de celles qui font ce métier-là parce qu’elle aime – autrement, la serveuse ici présente aurait osé la jupe et le débardeur pour se la jouer cool, mais plus parce qu’elle semble y être obligé. Car depuis que j’étais présent dans cette arrière salle, je ne l’avais pas vraiment aperçu outre mesure. Preuve qu’elle préférait rester discrète que de montrer à la clientèle son envie de gagner de gros pourboires. Alors oui, j’ai foncé dans le tas. Pas pour défendre son honneur, ni parce qu’elle représentait quelque chose à mes yeux, mais plus pour donner une bonne correction à ces gars qui se croient tout permis simplement parce que leur allure vestimentaire leur font croire qu’ils sont puissant. Ils y réfléchiront à deux fois avant de parler d’une personne comme d’un animal de compagnie, surtout celui qui devra aller se faire recoudre la joue suite à l’éclatement de la canette de bière.

Heureusement pour moi, j’avais agis lorsque celle – que j’imaginais fort bien étudiante, son visage me rappelant vaguement quelque chose – que je ‘défendais’ s’était absentée. Elle n’avait pas pu assister à la soudaine pulsion de haine qui s’emparait de la moindre partie de mon corps lorsque je perdais les pédales. Tant mieux. Parce que depuis que j’étais arrivé, elle n’avait quasiment pas bougé ni adressé la parole à qui que ce soit. Et surtout, elle ne m’avait pas regardé comme si j’étais le dernier des animaux sauvages de la planète. Preuve qu’elle n’avait aucune idée de la réputation que je trainais à Brown. J’espérai en tout cas.
Le dos callé contre la table de billard, le visage baissé, les yeux au sol, je sentais le sang quitter une partie de ma lèvre supérieur et couler le long de mon menton. Il semblait chaud. Bouillant même. Ou alors c’était moi. Anyway. J’ai épongé celui-ci avec la manche de mon pull avant de voir la serveuse elle-même, venir essuyer ces gouttes grenades. Comme à mon habitude, je n’ai pas posé mes yeux sur les siens, évitant toute gêne qu’aurait pu avoir un contact visuel direct. Je doutais fort qu’elle m’apprécie pour ce qui venait de se passer. Tout au plus, ça lui filerait plus de boulot pour tout remettre en ordre une fois la soirée terminée, tout nettoyer, etc. J’étais pas loin de la vérité lorsqu’elle me fit part de ses pensées, comme quoi l’endroit n’était pas propice à l’affrontement. J’étais au courant. J’aurai pu, même dû lui dire que j’étais désolé de ce qui s’était passé. Mais tout ce que j’ai réussi à faire, c’est grogner un p’tit « Ouais… » Tu parles d’une sociabilité. T’es un connard Tim. Elle t’aide, franchement en plus, et toi tu grognes. Classe. Quand tu sais que t’ajoute à ça les regards de la dizaine de clients qui te regardent de haut en bas, comme si t’étais le responsable de tout ça, ça fout les boules. Limite si j’aurai pas préféré me faire virer. Non, pas question. J’serais pas partie sans mes thunes de toute façon

Putain ouais, mon fric ! Il est où ? Je l’avais dans la main jusqu’à ce que… Putain. Tenaillant pour tenir en place, j’ai bénis Dieu lorsque la jeune femme est repartie à ses affaires. Comme quoi j’étais un grand garçon, que je pouvais tenir debout. Bien vu. Je tenais effectivement sur mes pieds. Ou pas. Quoiqu’il en soit, j’ai plongé sur le sol à la recherche de la liasse de billet. Pas sous les tables. Pas sous les pieds des clients. Au pied de la table de billard… Bingo. Ma main s’est saisie du petit paquet, et j’ai refait surface, laissant quelques gouttes de sang sur le sol. Mon arcade, non-remis d’un coup reçu sur le ring de boxe, faisait des siennes. Rien de grave. Juste le gout du sang dans ma bouche. Avec l’habitude, ça ne me gênait plus. Mais le faire passer ne serait pas du luxe. Par chance, la serveuse ne semblait pas plus remontée que ça contre moi. En guise de, peut-être, début de discussion, elle me questionnait sur mon comportement de rageux. « Ouais, pt’être bien. Mais les emmerdes n’ont pas à aller bien loin pour m’trouver aussi. » Y’avait du faux, y’avait du vrai. Chercher les emmerdes, c’était pas vraiment mon genre. Je préférai de loin des trucs organisés, comme des matchs clandestins, pour ce qui était d’en foutre plein la gueule des autres. Mais parfois, comme ce soir, je perdais les pédales. « Je… Ahem. » Je m’était dirigé vers le comptoir pour prendre place. Ne trouvant pas mes mots, j’ai massé mon menton mal rasé avant de finalement, poser mon regard sur celui de la belle blonde. « Désolé pour heu… J’veux pas t’attirer d’emmerdes d’accord ? Si j’dois nettoyer, j’le ferais. Si c’est retenu sur ta paie, j’te rembourse tout de suite d’acc’ ? » Et c’était entièrement vrai. Si j’étais le pire des connards, je respectai le travail des autres. En aucun cas une personne ne serait responsable de mes conneries à ma place. Jamais.
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