Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.

Je m’appelle Elia, mais vous pouvez me nommer Eli. J’ai 17 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Bonnie Wright, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à PRD et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est validé par riley Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que autre (si vous étiez sur l'ancien prov', révélez votre identité ici ).

Je suis née durant un mois d’hiver, en Janvier. La naissance est un cadeau du ciel, et pourtant ce jour là ce fut aussi un enfer. Le destin avait voulut que deux jumelles naissent. Mais l’accouchement ayant était trop douloureux, et beaucoup trop long, avait entrainé le décès de la mère. Une vie pour une vie… Ma sœur jumelle est née quelques secondes avant moi, sans aucun problème. Mais lorsqu’enfin je pointai le bout de mon nez, le cordon ombilical se trouvait autour de mon cou. Je ne serrais plus là, si les médecins n’avaient pas de suite réagis. Pour moi l’espoir était là, mais pour ma mère, il l’avait quitté. Une vie pour une vie… Très rapidement ma sœur et moi nous nous départagions, jamais d’accord, toujours en colère l’une contre l’autre, l’une disait noir, l’autre blanc… Mon père n’a jamais pris le parti durant nos disputes, et pour cause : s’il prenait le parti de l’une, l’autre aurait tôt fait de ne plus lui adresser la parole. Deux têtes de mules, trop gâté, voilà ce que nous étions…
Les temps ont passés, et vint le moment de l’adolescence, c’est dans cette période que la tension entre Alice et moi était la plus palpable. N’étant pas dans le même groupe d’amie, et surtout dans deux groupes totalement opposés, les insultes divergeaient beaucoup entre nous. Insulte, tirage de cheveux, poing…Tous y étaient passés. Nous les deux sœurs tyranniques, il faut dire que lorsqu’on nous voyait trop proche, et surtout proche de se battre, la majorité avait froid dans le dos, car chacune de nos répliques étaient sanglante, mauvaise, et destructrice… On passait beaucoup de temps dans le bureau de la directrice à devoir expliquer nos bagarres, a devoir attendre que celle-ci eu appelé notre père pour le prévenir de notre comportement, et à écouter lorsqu’elle nous faisait la morale. Et quand nous rentrions, une autre dose de morale s’ajouté à notre journée…Les deux sœurs tyranniques…Ce n’était pas complètement faux. Personnes n’a jamais compris ce qui nous à poussé à nous haïr autant. Personnes n’a jamais compris pourquoi on voulait du mal à l’autre. A dire vrais, même nous on ne comprenait pas. Sans doute nos différences…