On vous rappelle que pour créer un DC il vous faut envoyer un MP au Doyen afin d'avoir l'approbation des admins. Si un DC clandestin est découvert, il sera automatiquement supprimé. Merci !
Sérieusement, vous m’imaginez chez les DELTA UPSILON ? Non ? Bien sûr que la réponse est non. Je ne suis ni doué, ni très ambitieux, ni le fils de Richard III De La Galissonière du fief de La Potherie d’Esmainville. Alors quoi, un ALPHA XI OMEGA ou un PHI KAPPA TAU ? Je suis marginal, sanguin, violent, séchant les cours le plus souvent ou y assistant pour être au chaud. Mais je ne suis ni un coureur de jupon, ni très porté sur les fêtes étudiantes. Je suis encore moins le gars qui possède l’esprit d’équipe. Si j’avais à choisir, je préfèrerai de loin rester dans mon coin sans fréquenter ces confréries. La question est de savoir si je peux le faire…
CARNET DE SANTÉ
Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.
✻ Parle moi de lui, raconte moi sa vie…Signe astrologique : Sagittaire. Couleur préférée : Vert foncé. Goûts musicaux : Rap & RnB. Style vestimentaire : Décontracté. Plusieurs couches de vêtements, jamais de manteau. Croyance religieuses : Inexistante aujourd’hui. Ancien catholique. Sexualité : Hétérosexuel. Il n’est plus vierge. Tabac / Alcool / Drogue : Oui. Oui. Oui. Perspective d’avenir / rêve : Un boulot tranquille. Une vie tranquille. Il ne demande rien de plus.
TAILLE :
POIDS :
GROUPE SANGUIN :
ALLERGIE(S) :
MALADIE(S) / ANOMALIE(S) :
SIGNE(S) PARTICULIER(S) :
PHOBIE(S) :
COMPLEXE(S) :
C’EST MOI. CONTRE LE MONDE ENTIER
Je m’appelle jamais, mais vous pouvez me nommer Le mari de Ririi. J’ai 23 ans, même si je perds déjà mes dents et je suis un garçon, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Tom Hardy, parce qu’il faut avouer qu’il est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à l'une des créatrices et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est validé par riley Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que j'étais déjà sur l'ancien Providence, oui oui .
Dernière édition par Timmy K. Madsen le Mar 17 Avr - 19:50, édité 4 fois
« Timmy K. Madsen »
~ Dépot de candidature : 30/08/2011 ~ Bavardages : 1162
~ Job : LIVREUR DE JOURNAUX. ~ Gps : SALLE DE GYM, SUR UN RING, A FAIRE CHIER LES DENTS DES ADVERSAIRES.
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (17/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (4/100)
Sujet: Re: "Lui, c'est Timmy." - "Il a l'air dérangé non?" - "C'n'est pas un air..." Dim 1 Avr - 19:20
BREF, VIE DE MERDE !
J’ai toujours cru qu’il existait seulement trois sortes d’homme dans le monde. Je le crois encore. D’abord les gens de bien. Ces bons samaritains qui fonctionnent avec raisons et morales, toujours prêts à donner un coup de main, sympathique à souhait. Mais aussi, parmi eux, je sais qu’il y a tous ces petits rebelles qui se donnent un genre, se pensant marginaux alors qu’ils sont, au fond, aussi simplets que les autres. J’imagine qu’ils participent à environ 80 % du monde des hommes. De l’autre côté de la ligne, dans l’autre camp, on trouve les 15 % de criminels et haineux, n’aspirant qu’au chaos et au néant. J’ai d’abord pensé, comme tout le monde, qu’il n’y avait que ces deux catégories de personne sur Terre. Mais je me trompais. Je m’en suis rendu compte en me posant une seule et simple question : où est-ce que je me situe dans tout ça ? Fameuse question que de savoir quelle est ma place dans le monde. Pour tout vous dire, je fais partie de la minorité restante, qui oscille à la limite entre le bien et le mal. Il suffit de me pousser dans un sens ou dans l’autre pour me voir soit sombré, soit sourire. Malheureusement, il est bien plus facile de me voir franchir la mauvaise ligne que de me voir sourire. La faute à ma façon d’être. La faute à cette vie qui m’a forgé, qui m’a fait tel que je suis aujourd’hui, et à ce ciel sombre qui semble me poursuivre en n’ayant que l’envie de me voir échouer. Mais ça, tout le monde s’en tape.
Je m’appelle Timothy Kay Madsen, beaucoup plus connu sous le pseudo de Tim, Timmy. Je ne dis pratiquement à personne mon prénom, pour la simple raison que je n’en ai pas envie. Je suis né il y a 23 ans dans le Michigan, dans une famille qui ne représente rien à mes yeux. Rangez immédiatement vos mouchoirs, je n’ai nul besoin de la pitié que l’on balance aux familles désunies car je suis bien mieux sans eux. Mon père était un coach sportif dans une salle de sport. Ma mère n’a jamais travaillé de sa vie. Mon grand-frère, lui, n’a jamais supporté le fait que le paternel préfère m’enseigner son sport de prédilection en le laissant de côté. Ça ne nous a néanmoins pas empêchés de bien nous entendre. Au début en tout cas. J’ai passé mon enfance à Lansing. Le collège et le lycée ont été du pareil au même, sans distinction d’aucune sorte. J’y ai toujours fait le strict nécessaire, sans imaginer un seul instant que j’irai plus loin que le diplôme du High School. Cancre et insolent, mais débrouillard et déterminé. J’ai toujours été un casse-tête pour les enseignants. Si vous ouvrez mon dossier scolaire, vous y verriez également que j’étais, si ce n’est turbulent, violent. Dix ans. Mon plus lointain souvenir de fight, de rage, remonte à mes dix ans. Je me souviens avoir frappé l’un de mes camarades de classe, continuant à le ruer de coup alors même qu’il était inconscient sur le sol. Incontrôlable. Ce manège a continué des mois, des années, sans que je parvienne à canaliser cette rage. Allant parfois jusqu’à me retrouver au commissariat, ou face au juge pour enfant, allant jusqu’à me frotter à des gars plus âgés. Je les mettais K.O en quelques coups, aisément. Parce que chez les Madsen, le sport de combat a toujours été la seule chose dans laquelle nous excellions – mon ainé prouvera l’inverse en devenant instituteur. Les psychologues du collège et du lycée ont tenté de trouver ce qui n’allait pas chez moi, sans succès. J’étais toujours le même. Silencieux. Solitaire. Impulsif. Violent.
Muet comme une tombe, même sur les rings de boxe, même en dehors. Ma haine, n’arrivant pas à la contrôler, je m’en servais dans les salles de sports, à m’entrainer jusqu’à l’épuisement. Le sport de combat n’attire pas, ou plutôt attire moins que le football américain ou que le basket-ball. Mais on me connaissait. Ma réputation était faite, dès le collège, dès que j’ai commencé à envoyer mes adversaires au tapis avec quelques coups sans passer le premier round. Au lycée, ce fut la même histoire, à ceci près que j’étais plus ouvert, surtout au niveau des filles. Mais mon côté sauvage et solitaire était toujours là. Aussi n’avais-je eu que de courtes relations. Torrides. Endiablées. Courtisé par l’équipe de football, j’aurai pu devenir quelqu’un d’important si je m’en étais donné la peine. Sauf que je ne suis pas un gars collectif. Je joue pour moi. Je gagne pour ma gueule, et basta. J’ai obtenu mon diplôme avec la même nonchalance qu’à mes débuts. Le jour suivant, j’étais à plus de 300 kilomètres de Lansing. Moi, et ma mère. Seuls.
Depuis que j’ai eu l’âge de comprendre le monde des adultes, je n’ai jamais aimé la maison dans laquelle j’avais grandi. Entre un frère qui se penchait déjà sur un avenir intellectuel, me délaissant bien souvent pour la bibliothèque où il pouvait apprendre dans de meilleures conditions ; une mère qui, fatiguée, semblait bien plus atteint par l’âge qu’elle ne le devait et un père qui prenait beaucoup trop l’alcool comme breuvage quotidien, je préfère vous passer les détails. Je vous dirai juste que la vie n’est pas facile lorsqu’un père rentre à la minuit passée pour en mettre plein la gueule de sa femme. Sous les yeux de ses enfants qui plus est. Avec Travis, mon grand-frère, nous avions conclu qu’à la fin de ma scolarité, nous prendrions un nouveau départ. Lui, ma mère, Moi, loin de Lansing. Mais il a renoncé. Après un an passé à l’université, il est tombé amoureux de celle qui deviendra sa femme. Il nous a abandonné. Il m’a abandonné. Et j’ai dû prendre soin de maman. Malade, elle ne tenue que quelques mois avec de maigres rations d’argents – celle de mon petit travail de livreurs de journaux. Je n’étais pas âgé de 19 ans que je me suis retrouvé seul, vivant en périphérie de New York et faisant face au décès de ma mère. Je me suis alors promis de ne plus jamais être triste, quel qu’en soit les circonstances. J’ai rebondi rapidement, et décida finalement de m’engager pour deux années dans les marines. Avec mon physique, mon endurance et mes années de sports, je n’ai eu aucun mal à y entrer. Même psychologiquement, les tests révélèrent que j’étais un mec aux nerfs solides. La grande question est de savoir pour quelle raison je me retrouve dans un domaine totalement différent à l’université de Providence. Si je vous dis que j’ai simplement changé d’avis, vous me croiriez surement. De toute manière, vous n’auriez aucune autre réponse de ma part. De l’autre côté, si j’explique être un déserteur, vous allez avoir envie d’en savoir plus. J'ai débuté un cursus d'ingénierie il y a de ça deux ans. J'entame ma troisième année. Ne me questionnez pas sur la raison m'ayant poussé à venir ici, jamais.
Croyez-moi… Il est préférable de croire que j’ai changé d’orientation.
« N. Riley Drosky-Lambert »
~ Dépot de candidature : 16/04/2010 ~ Bavardages : 2356
~ Job : SERVEUSE AU THE CHEESECAKE FACTORY ~ Gps : DANS MA CHAMBRE
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (65/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (20/20)
Sujet: Re: "Lui, c'est Timmy." - "Il a l'air dérangé non?" - "C'n'est pas un air..." Sam 14 Avr - 11:19
Je te valide pour petit Timmy - c'est pas trop tot - Je te mets même le petit message de bienvenue
"CONGRATULATIONS ! tu as réussi à passer l'épreuve que tant d'étudiants redoutent ; seulement 11% de candidatures ont la chance d'aboutir sur une réponse positive ! Mais le pire reste à venir... Maintenant que tu es un étudiant de Brown à part entière, il va falloir réclamer au secrétariat ton story book, afin d'y construire tes liens, créer une messagerie mobile, ou répertorier tes rps. Aussi pense à créer ton ask.me afin que tous les petits curieux puissent venir te poser des questions ou commenter ta petite vie. File donc vite remplir les liens URL correspondants dans ton profil.
Une chose que tu ne dois pas perdre de vue, à Brown : la greek life est une chose primordiale. C'est pourquoi, si tu n'es encore qu'un petit lamb tu devras vite choisir une confrérie et tenter de l’intégrer lors des rush week (pour plus d'explications). Si pour toi la vie de bizut, est une affaire passée, sache que la course au points n'est pas terminée et qu'il faudra t'y adonner longuement pour empocher de nombreuses récompenses (plus de détails).
N'oublie pas de veiller au panneau d'affichage où toutes les annonces importantes y seront annotées. Et surtout n'hésite pas à consulter le guide des paumés au besoin. Enfin si tu es perdu, utilise le plan de la ville, confectionné pour ceux ne sachant pas trop où RP.
Nous te souhaitons une bonne année universitaire parmi nous. Allez ! Au travail."
Je suis trop gentille,je sais
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Sujet: Re: "Lui, c'est Timmy." - "Il a l'air dérangé non?" - "C'n'est pas un air..."
"Lui, c'est Timmy." - "Il a l'air dérangé non?" - "C'n'est pas un air..."