On vous rappelle que pour créer un DC il vous faut envoyer un MP au Doyen afin d'avoir l'approbation des admins. Si un DC clandestin est découvert, il sera automatiquement supprimé. Merci !
Les Bisounours sauveront la planète lorsque les dinosaures danseront la polka
20 ans ✻ Anglo-Américaine ✻ Londres ✻ Célibataire ✻ Hétérosexuelle ✻ Deuxième Année ✻ Programme dans les organes artificiels, les matières biologiques et la technologie cellulaire ✻ Non Boursière ✻ Croupier
LAMBDA THETA PHI λθφ Mon lourd passé me fait parfois voir comme quelqu'un que je ne veux pas être. Je ne suis pas un monstre et encore moins une meurtrière, juste une fille paumée qui ne sait pas trop comment aller de l'avant. J'ai toujours été douée dans les études, seul soutien dans ma vie dépravée. Certes pas à cause des garçons, si quelques amourettes ont déjà été miennes, je n'ai pas réellement connu ce sentiment poignant qu'on appelle l'amour, de plus, flirter ne m'intéresse pas plus que cela. Au contraire, j'ai besoin de calme et de sérénité, de gens "vrais" me permettant de me sentir à l'aise. Je suis méfiante envers le genre humain et il est assez difficile de me cerner, même si je parais docile et sur la réserve, c'est un sentiment de rejet envers les autres. J'ai envie de me sentir chez moi, parmi les miens, de retrouver une maison c'est pourquoi je pense que la prestance et l'écoute des filles de Lambda Theta Phi pourraient m'apporter beaucoup.
CARNET DE SANTÉ
Je me présente : Mrs Harrison, je suis infirmière psychologue. Une formalité que de passer me voir pour établir votre dossier de santé. À Brown, nous prenons toutes les précautions nécessaires et nous suivons chaque élève qui pourrait être dans le besoin pour un quelconque problème. N’ayez donc pas peur de vous laisser aller, je suis tenue au secret médical.
✻ Parle moi de lui, raconte moi sa vie…Signe astrologique : Lion Couleur préférée : Violet Goûts musicaux : Punk, Jazz, Métal, Musique classique Style vestimentaire : Isya ne sait pas réellement s'habiller, jean baskets serait son habitude, à bon relooker, vous avez une cliente Croyance religieuses : Athée sauf pour les extraterrestres, elle est persuadée de leur existence Sexualité : Quelques aventures mais rien de bien conséquent, ah oui, la miss n'est plus vierge Tabac / Alcool / Drogue : Non, non & non Perspective d’avenir / rêve : Voyager dans l'espace, découvrir de nouvelles formes de vie & accessoirement réussir dans son domaine afin d'alléger la souffrance des gens
TAILLE :
POIDS :
GROUPE SANGUIN :
ALLERGIE(S) :
MALADIE(S) / ANOMALIE(S) :
SIGNE(S) PARTICULIER(S) :
PHOBIE(S) :
COMPLEXE(S) :
C’EST MOI CONTRE LE MONDE ENTIER
Je m’appelle Isya, mais vous pouvez me nommer Cat. J’ai 20 ans (bientôt 21 héhé), même si je perds déjà mes dents et je suis une fille, à moins que je me trompe sur la marchandise O.o’. J’ai décidé d’interpréter Karen Gillan, parce qu’il faut avouer qu’elle est juste orgasmique ! D’ailleurs, c’est un personnage inventé. J’ai connu Providence grâce à Billie-Jean Reynalds et j’espère ne pas le regretter. Ah oui ! Le fichu code du forum, je l’ai trouvé sans trop de difficulté. La preuve, c’est Validé par Zo' Et c’est pas fini ! J’aimerais rajouter que vu d'ici, le forum a l'air bien kiffant hihi !.
Dernière édition par Isya E. Reynalds le Mar 24 Avr - 11:08, édité 8 fois
Tandis que la télévision diffusait les supers Bisounours disparus aujourd’hui du monde des dessins animés pour enfants, une petite tête rousse n’arrivait guère à décrocher ses mirettes de l’écran. Allez donc tenter de tirer une jeune princesse de ses rêves et contes de fées, cela s’avère impossible. J’étais comme ça, à peine âgée de quelques années, bon j’avais huit ans mais j’adorais ça alors tant pis, on ne me supprime pas ce qui me plaît ! Je vivais en plein cœur de Londres, dans une coquette villa qui ravirait le cœur des plus envieux de nos voisins. Notre jolie maison blanche aux volets bleus était spacieuse et nous avions même une dame qui faisait le ménage tous les jours. Ma mère, Erin était la plus belle femme que j’ai jamais vu, elle brillait par sa prestance et nous régalait toujours de ses discours qui sonnaient justes. Mon père, Edward était un être un peu plus mystérieux, toujours sur la réserve, il usait toujours de ce ton un peu sec envers moi. Mais bon, c’est mon papa, donc je ne lui en voulais pas. Il dirigeait une société rachetant plusieurs entreprises. A l’époque je ne comprenais pas réellement de quoi il retournait mais aujourd’hui, je sais qu’il arnaquait des gens. J’adorais mon père vraiment, mais si vous saviez ce qu’il a fait et ce que j’ai fait…Sincèrement, il m’aidait à faire mes devoirs, m’emmenait où je voulais, me racontais des histoires le soir tandis que ma mère restait dans l’ombre de sa chambre. Je ne comprenais pas, lui prenait soin de moins alors qu’elle avait toujours l’air triste comme si une météorite allait nous tomber sur la tête. Mais ce fameux soir où je devais dormir, j’ai compris car j’ai tout vu et entendu.
Il était tard, assez pour que les enfants dorment, croupis sur les draps et au pays de Morphée. Mais ce soir-là, quelque chose m’a réveillé, quelque chose d’inhabituel. J’avais une dizaine d’années et avait terminé un livre de pirates qui m’avait fait peur, néanmoins j’avais fini par trouver le sommeil. Hélas, un bruit sourd et des cris étouffés m’avaient réveillé. Prise de panique, j’étais sortie à pas de loup hors de ma chambre afin de me glisser dans celle de mes parents pour qu’ils me réconfortent et là…à travers la maigre fente de leur porte de chambre entrouverte, j’ai cru que mon cœur allait exploser. Mon père tenait sa canne de golf entre ses mains, il la souleva dans les airs afin de rouer ma mère de coup avec. Elle avait déjà dû subir quelques sévices car elle avait du mal à marcher. Ses mots étaient glacés, son expression venant du fin fond des enfers, sans rigoler. J’ai eu peur, je ne comprenais pas ce qu’il disait car il employait des jurons mais la colère de ses paroles enveloppèrent mon être entier dans un nuage obscur, c’est comme ci, de chaque côté de ma personne des pics de fer me transperçaient. Alors, je n’ai pas pu retenir un cri et j’ai hurlé de peur, tentant d’évacuer la tension qui venait de me couper le souffle. Cependant, mon père réagit au quart de tour. Furibond, il ouvrit en grand la porte, j’eus à peine le temps de voir ma mère sangloter et tenter de l’arrêter tandis qu’il empoignait le col de ma chemise de nuit. Là, il me tira presque dans les escaliers pour me conduire dans notre cuisine où il m’enferma à clef dans le placard du garde manger. Il était sombre et froid. Ce fut la première de mes nombreuses nuits que je passerai prisonnière de cet horrible endroit. J’avais la chair de poule à chaque fois que le ton montait entre mes parents, je craignais pour ma mère et pour moi. J’ai fini par haïr ce placard où je passais au moins une nuit par mois. Aurais-je pu m’enfuir ? J’y ai songé mais j’avais à peine une dizaine d’années et qu’aurais-je fait ? Ma mère ne voulait pas parler à la police, elle craignait pour sa réputation et se confondait dans les mensonges quant à la provenance de ses plaies. Elle s’était même inventée comme prétexte d’être atteinte de ce mal qui fait que dès que vous vous cognez, cela provoque de grosses séquelles visibles. Je n’aimais plus ma maison et par-dessus tout je n’aimais plus mon père. Au collège, j’étais une adolescente étrange qui n’arrivait pas à trouver ses repères. Pourtant, j’avais des amis, des amis qui riaient, qui vivaient à fond tandis que moi je me renfermais de tout mon être à cause de cette torpeur qui gagnait mon ventre chaque fois que je songeais à ce placard et à mon père.
Les années passèrent, les nuits passées dans le placard n’étaient presque qu’un vague souvenir, alors j’ai fini par oublier cette terrible année où j’ai découvert la vérité. Je me disais que tous les parents punissaient leurs enfants d’une façon ou d’une autre. J’étais très influençable à l’époque, peut-être le fait que je sois fille unique. Mais en grandissant, je changeais. Je comprenais mieux et faisais la part des choses. Ce n’était pas bien alors j’ai tenté de m’enfuir mais c’est sans compter la police. Une adolescente à l’extérieur, ça ne paye pas de mine et en plus, mon père était connu dans les alentours donc retour à la case départ alors, je décidais d’oublier tout une bonne fois pour toute, c’était ma mère la victime qui n’osait parler et mon père le bourreau. Si je ne disais rien, il était aimant avec moi alors, je me suis enfermée dans mon mensonge de pseudo vie parfaite et j’ai continué à grandir. Ce n’est pas comme ces filles que l’on viole et dont on retrouve le cadavre quelques semaines plus tard. J’avais de l’argent, des parents qui m’aidaient, au fond, tout pour être heureuse non ?
Ma vie n’allait pourtant pas. Mes fréquentations restaient sommaires et je feignais être une adolescente assidue, sage et autres. Certes, j’étais douée dans les études et je rêvais parfois m’enfuir loin, sur une autre planète, être recueillie par de gentils extraterrestres à la peau claire qui me prendraient au sein de leur peuple et où aucune violence ne serait accordée. Mais ce genre de dramas fantasmagoriques est irréel. Je le savais. Alors, je me suis concentrée sur mes études et lorsque j’atteins la majorité, l’année de mes dix-huit ans marquant la fin du lycée, tout refit surface. Mes parents s’étaient calmés, depuis quelques années, je n’entendais que de brèves engueulades mais, ce jour-là, tout allait être chamboulé dans ma vie. J’avais un cours d’annulé et j’étais donc rentrée plus tôt chez moi. Je n’aurai pas dû être là apparemment car à peine la clé tournait dans la serrure de notre porte que des bruits d’assiettes brisées me parvenaient aux oreilles. Je me calais contre le mur, l’obscurité gagnant mon espace vital. Pourtant, la nuit tombait à peine et quelques rayons de soleil transperçaient les nuages naissants. Je n’arrivais plus à respirer, ça recommençait…J’avais extrêmement peur. Alors, je suis montée, mes pas couverts par les cris de mon père et je suis allée fouiller dans sa chambre. Là, j’ai trouvé le vieux fusil de chasse de mon grand-père paternel.Je suis redescendue, l’arme serrée contre mon cœur battant la chamade. Dès lors, je ne pensais plus à rien. Les bouteilles de bière jonchaient le sol du salon par où je passais pour accéder à la cuisine. Une fois arrivée, j’ouvrais grand la porte. Mon père ne s’aperçut même pas de ma présence tellement il était occupé à serrer ma mère entre ses grandes mains. Des équimoses sillonnaient son corps. Elle semblait presque absente et je m’approchai un peu plus de la scène. Là, il se saisit de la louche pour servir la soupe et menaça ma mère de l’arme puis moi puis retour sur elle. Il ne savait que faire. Je sus juste qu’en tentant de m’interposer entre eux deux, mon père fut pris d’une telle fureur qu’il se jeta sur ma mère. Des mots saccadés sortaient de sa bouche : « Vais..tuer…pourquoi…appeler…Isya ? ». Ces paroles furent les dernières car mes bras pointèrent l’arme dans sa direction, je lui scandais d’arrêter ce massacre mais il fit mine de ne rien entendre en donnant une gifle à ma mère. Le coup de feu parvint à mes oreilles alors que je ne m’étais même pas rendue compte avoir tiré une balle. J’avais dû bien visé car lorsque les pompiers arrivèrent ils enveloppèrent mon père dans cette couverture dédiée aux décédés. J’avais tué mon père, si cela avait été jugé comme de la légitime défense, je n’en restais pas moins affreusement coupable, à mon sens.
Nous avons déménagé. La sœur de ma mère vivait en Virginie et avait même une fille de mon âge. N’ayant plus la force de supporter notre maison, elle s’est installée chez sa sœur et il a été convenu que je poursuivrais mes études dans la même université que ma cousine afin d’avoir une épaule pour pleurer. Mais je ne pleurais pas, je me détestais. Pourtant, deux ans passèrent et il est vrai que mon goût pour la vie reprit incontestablement le dessus. L’assurance vie de mon père suffit à couvrir nos dépenses mais je souhaitais quand même travailler pour ne pas dépendre encore de ce fantôme. Aujourd’hui, je me sens assez bien dans ma peau pour vivre mais peut-être pas assez pour dépasser tout ça.
Dernière édition par Isya E. Reynalds le Lun 23 Avr - 18:08, édité 1 fois
Outre le fait que j'adorerai que Miss Kaitlyn envahisse ma boîte MP, nous allons en effet être obligées d'avoir un lien & Merci pour votre accueil si chaleureux !
« N. Riley Drosky-Lambert »
~ Dépot de candidature : 16/04/2010 ~ Bavardages : 2356
~ Job : SERVEUSE AU THE CHEESECAKE FACTORY ~ Gps : DANS MA CHAMBRE
ID Card MOI, MA VIE, MES ENVIES: NIVEAU SCOLAIRE: (65/100) APPRÉCIATION DES ÉLÈVES: (20/20)
CONGRATULATIONS ! tu as réussi à passer l'épreuve que tant d'étudiants redoutent ; seulement 11% de candidatures ont la chance d'aboutir sur une réponse positive ! Mais le pire reste à venir... Maintenant que tu es un étudiant de Brown à part entière, il va falloir réclamer au secrétariat ton story book, afin d'y construire tes liens, créer une messagerie mobile, ou répertorier tes rps. Aussi pense à créer ton ask.me afin que tous les petits curieux puissent venir te poser des questions ou commenter ta petite vie. File donc vite remplir les liens URL correspondants dans ton profil.
Une chose que tu ne dois pas perdre de vue, à Brown : la greek life est une chose primordiale. C'est pourquoi, si tu n'es encore qu'un petit lamb tu devras vite choisir une confrérie et tenter de l’intégrer lors des rush week (pour plus d'explications). Si pour toi la vie de bizut, est une affaire passée, sache que la course au points n'est pas terminée et qu'il faudra t'y adonner longuement pour empocher de nombreuses récompenses (plus de détails).
N'oublie pas de veiller au panneau d'affichage où toutes les annonces importantes y seront annotées. Et surtout n'hésite pas à consulter le guide des paumés au besoin. Enfin si tu es perdu, utilise le plan de la ville, confectionné pour ceux ne sachant pas trop où RP.
Nous te souhaitons une bonne année universitaire parmi nous. Allez ! Au travail.